GP France - Nouvelles pièces pour la FW30 de Williams
F1.
L’écurie Williams attend avec grand intérêt cette course française car de nouvelles pièces devraient voir le jour sur la FW30. Celles-ci ont été testées avec succès lors des récents essais de Barcelone.
Rosberg part avec un handicap de dix places, tout repose donc sur les épaules de Nakajima à moins qu’une stratégie agressive ne viennent bousculer le devant de grille avec pourquoi pas trois à quatre arrêts aux stands. Affaire à suivre…
Nico Rosberg - Pilote de course :
« J'aime beaucoup le circuit de Nevers. J'ai réalisé quelques grandes courses, ici, par le passé. C'est aussi le retour en Europe. »
« Malheureusement, la situation est rendue difficile par ma pénalité de dix places sur la grille après l’incident dans les stands lors du Grand Prix de Montréal. Nous avons fais trois jours d'essais à Barcelone la semaine dernière et au cours de laquelle nous avons testé quelques nouvelles pièces, qui, nous l'espérons, nous aideront ce week-end pour réaliser un bon résultat. »
Kazuki Nakajima - Pilote de course :
« J'ai une certaine expérience de Magny-Cours, parce que j'ai couru, ici, l'année dernière en GP2. C'est une piste agréable à conduire, je me sens donc prêt pour ce week-end. »
« Nous avons montré que nous avions un bon rythme sur les deux dernières courses à Monaco et au Canada. Nous devons faire de même en France et viser les points. En ce qui concerne l’endroit lui-même, c’est vraiment un coin tranquille, très différent de Montréal. »
Sam Michael - Directeur technique :
« Nous apporterons diverses mises à niveau aérodynamique et mécanique sur la FW30 pour le Grand Prix de France afin de l’améliorer. Toutes les pièces ont été testées lors de l'épreuve de Barcelone la semaine dernière. Ce fut un succès. »
« Le circuit de Nevers présente un bon mélange de virages, véritable défi pour les pilotes et les ingénieurs. Efficacité aérodynamique et un bon équilibre de la monoplace dans les virages pris à haute vitesse sont essentiels pour réaliser de bons secteurs. »
« La stratégie est toujours intéressant en France parce que le temps perdu dans les paddocks est relativement court, ce qui permet d’envisager trois ou même quatre arrêts aux stands, qui ont tous deux été utilisés dans le passé. »