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F1. GP Europe: Chaud devant pour la course urbaine de Valencia !

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GP Europe: Chaud devant pour la course urbaine de Valencia !

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© Au coeur de la marina... /

Situé sur la Marina de Valencia, le tracé du Grand Prix d’Europe est une des attractions du calendrier. Entouré de murs de béton, ce circuit compte près de 25 virages, il est un véritable challenge pour les pilotes et pour les ingénieurs. Il combine des courbes à basse et moyenne vitesse tout en étant suffisamment large pour offrir plusieurs zones de dépassement. Une bonne vitesse de pointe ainsi qu’une bonne stabilité au freinage y sont déterminantes, de même qu’un bon niveau de grip mécanique pour se montrer performant de manière générale sur l’intégralité du tour.

Aérodynamique
Le dessin du tracé exige un niveau d’appui moyen, similaire à celui qui est utilisé à Shanghai et à Bahreïn. Cette configuration est possible car le circuit ne comporte pas de virage très rapide et car il demande une bonne vitesse de pointe, essentielle pour la longue ligne droite.

Fernando Alonso explique : « La section la plus intéressante est celle qui débute au virage numéro 17 et qui se prolonge jusqu’au virage numéro 25. On est pratiquement à fond à partir de la sortie du virage 17 et ce jusqu'au dernier virage. Le virage 25 est relativement difficile à négocier car il est très lent mais on l’approche à plus de 300km/h. Il faut donc freiner au passage du virage 24 et on peut facilement bloquer une roue ou commettre une erreur. »

Freins
Le circuit est particulièrement exigeant pour les freins, comme celui de Bahreïn. On compte plusieurs gros freinages à plus de 300km/h, comme les virages 12 et 17, des virages négociés en deuxième qui seront un véritable défi pour le système de freinage des monoplaces. Le refroidissement des disques et des plaquettes exigera une attention toute particulière et les équipes opteront pour des écopes relativement grandes, comme à Bahreïn.

Mise au point
Les pilotes auront besoin d’une voiture réactive et bien équilibrée pour négocier les nombreux changements de direction que compte ce tracé. Mais comme toujours, il s’agira de trouver le meilleur compromis entre une suspension rigide pour les zones rapides et une suspension suffisamment souple pour optimiser la traction en sortie de virage lent. Une bonne stabilité au freinage se révèlera essentielle, notamment en bout de ligne droite, afin d’éviter les blocages de roues qui pourraient être lourds de conséquence de par la proximité des murs et la taille limitée des dégagements.

Fernando Alonso ajoute : « Dépasser est toujours difficile sur les tracés urbains et Valencia n’est pas une exception. Le virage 12, à la fin de la longue ligne droite, est probablement le meilleur endroit pour effectuer un dépassement car c’est la zone de freinage la plus importante du circuit. On a à disposition une zone de dégagement assez large au cas où on tire un peu large dans le virage. »

Pneumatiques
Bridgestone fournira les pneus tendres et extra-tendres aux équipes du plateau pour cette onzième épreuve du championnat du monde. C’était déjà le cas à Monaco et en Hongrie. Ce choix de gomme est possible car le bitume n’est pas particulièrement abrasif. Cette gamme devrait offrir un meilleur niveau d’adhérence, d’autant que la surface sera sans doute très glissante en début de week-end. Mais comme sur tout circuit urbain, la piste évoluera beaucoup au fur et à mesure des séances et elle se chargera en gomme. Le niveau d’usure des pneus arrière sera à surveiller de près car ceux-ci sont soumis à rude épreuve en sortie de virages lents, là où la demande en motricité est élevée.

Moteur
Des lignes droites, des chicanes à moyenne vitesse et des épingles font de Valencia un circuit où le moteur sera utilisé en mode « on-off ». Avec 60% du tour passé à pleine charge, ce qui est un peu inférieur à la moyenne du championnat, ce tracé ne devrait pas être trop exigeant pour le bloc moteur. Puisqu’il n’y a pas de réel pic de puissance requis, la clé d’un bon chrono résidera sans l’arrivée du couple et dans la relance à la sortie des virages lents, qui commandent les longues lignes droites. Une voiture bien équilibrée permettra de limiter le sous-virage dans les zones sinueuses et permettra aux pilotes de réaccélérer tôt, ce qui sera efficace au chronomètre.

D’après un communiqué du Renault F1 Team

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