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Alonso a besoin de McLaren pour le titre

F1. Victorieux en Angleterre, second en Allemagne : le Taureau des Asturies profite du regain de forme de la Scuderia Ferrari pour se relancer quelque peu dans la course au titre, mais il espère l'aide indirecte de McLaren pour refaire son retard au championnat.

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© Ferrari / Alonso espère que les McLaren seront au niveau /

De nombreux points communs peuvent être décelés si l’on compare Fernando Alonso et Lewis Hamilton : la même rage de vaincre, une saison sous les mêmes couleurs, un caractère qui ne laisse pas indifférent… mais, depuis peu, une autre caractéristique les habitait tous deux : la résignation. Souvenez-vous, c’était il y a un mois ;Sebastian Vettel sortait d’un Grand Prix d’Europe victorieux, le sixième en huit courses avec 77 points d’avance sur ses dauphins du moment, Jenson Button et Mark Webber. Dès lors, ni l’Espagnol, ni le Britannique n’osaient penser au titre et étaient presque prêts à donner rendez-vous l’année prochaine.

Mais depuis deux épreuves, un changement s'est opéré. La raison ? Une victoire du pilote de la Scuderia à Silverstone et un succès du pilote McLaren au Nurburgring, mais surtout un sentiment nouveau qui s’installe (légèrement) dans le paddock : Red Bull et Vettel ne sont plus invincibles. Souvent considéré comme un sport qui se joue majoritairement dans les usines et les souffleries, où le Taureau rouge excelle, la Formule 1 n’en reste pas moins une Ecole de la guerre psychologique. Or dans une guerre, il faut des alliés.

Force est de constater que Fernando Alonso lorgne logiquement du côté de son grand rival : « Nous avons une petite chance de rattraper notre retard au championnat si nous produisons de telles courses, si nous sommes sur le podium et si [Vettel] n’y est pas. Pour que cela arrive, nous avons besoin des meilleures performances possibles de la part de nos équipiers et nous avons besoin des meilleures performances possibles de la part des McLaren pour qu’elles prennent des points aux Red Bull ».

Mais dans une guerre, il faut aussi des offensives. Le pilote Ferrari ne manque d’ailleurs pas de piquant : « Je ne pense pas [que Vettel subisse la pression]. Je pense que c’est juste la course ;quoi qu’il en soit, je ne sais pas ce qui lui est arrivé. Je crois qu’il est parti en tête à queue au début de la course. Je ne sais pas comment il s’est retrouvé coincé derrière Felipe, il a peut-être perdu une place dans un arrêt aux stands ou quelque chose comme ça, mais ça arrive. Evidemment, quand vous partez de la pole position, vous avez un avantage et vous pouvez mener toute la course. C’est très facile. Quand il y a plus de concurrence, vous devez aborder la course différemment, vous devez être parfait sur tout : le départ, les arrêts, la qualification… et peut-être qu’ils ont du mal dans l’un de ces domaines, mais je pense qu’ils sont toujours très, très rapides ».

Enfin, dans une guerre, il faut mettre la pression sur l’ennemi : « Ils sont toujours devant, ils sont de loin les favoris pour le Grand Prix de Hongrie à Budapest. Donc, malgré cette course, rien n’a changé ». Pour rappel, à neuf courses de la fin de saison, Sebastian Vettel possède 77 points d’avance sur son coéquipier Mark Webber , 82 points sur Lewis Hamilton et 86 points sur Fernando Alonso ;soit plus de trois victoires d’avance sur ses principaux rivaux.

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