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F1. Ghosn : "Un Français au volant serait très bien vu par Renault"

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Ghosn : "Un Français au volant serait très bien vu par Renault"

F1. Le PDG de l'Alliance Renault-Nissan se félicite de l'engagement actuel de la marque au losange en Formule 1 et estime qu'un pilote français au volant d'une Formule 1 serait très bien vu par Renault.

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Comme les Beatles, ils sont quatre jeunes hommes dans le vent, chacun pouvant prétendre à un volant en Formule Un : il s’agit bien évidemment de Romain Grosjean, Jean-Eric Vergne, Charles Pic et Jules Bianchi. Ces dernières années, rarement la France n’aura compté autant de prétendants légitimes aux portes de la F1 alors que Franck Montagny et Sebastien Bourdais ont été les seuls français à faire leur apparition – éphémère – en F1 depuis le départ en retraite de Jean Alesi et Olivier Panis.

Il faut d’ailleurs reconnaître que les pilotes français n’ont pas toujours semblé bénéficier du soutien nécessaire, notamment venant de la part du dernier constructeur français impliqué en Formule Un, Renault, qui, bien qu’engagé en tant qu’écurie à part entière, n’a jamais véritablement pu – ou voulu- imposer un pilote français dans une écurie menée de main de fer par le fringuant Flavio Briatore. Pourtant, présent sur le circuit de Buddh, à l’occasion du Grand Prix d’Inde, Carlos Gohsn, PDG de l'Alliance Renault-Nissan, a cependant assuré que la marque au losange soutenait les pilotes français : « C’est sûr que si on nous demande notre avis, on ne va pas se gêner, notamment sur la nationalité des pilotes. Il est évident que nous avons toujours intérêt à ce qu’elle soit liée à un enjeu commercial pour le groupe car on sait que le pilote influence le grand public. Inutile de préciser que nous passons toujours un mot à toutes les écuries pour leur dire qu’un pilote français au volant serait très bien vu par Renault. Nous nous sommes félicités que Vitaly Petrov trouve un baquet car la Russie est un marché très important pour la marque. Mais cela ne veut pas dire que nous décidons car chaque écurie est responsable de sa performance. Nous donnons simplement notre avis » rapporte RMC.

En 2012, le motoriste, qui a glané son dixième titre constructeur avec Red Bull cette année, fournira ses blocs à pas moins de quatre écuries qui sont toutes, selon les informations actuelles, en discutions avec des pilotes français. En effet, si Romain Grosjean roulera le vendredi matin à Abu Dhabi et Interlagos pour le compte de Lotus Renault GP, où il est en tête de liste pour un baquet de titulaire en 2012, Jean-Eric Vergne fait partie de la filière Red Bull alors que Charles Pic est en discussion avec Virgin mais aussi avec le Team Lotus et l’écurie Williams qui utilisera à nouveau les blocs moteurs de Viry-Châtillon. Autant d’occasion, espérons-le, pour le constructeur français de distiller ses conseils avisés.

Renault se félicite d’ailleurs de son engagement actuel en Formule Un, alors qu’il a soldé, depuis près d’un an, ses parts dans l’écurie d’Enstone qui porta son nom pendant près de 10 ans : « Quand on regarde les résultats aujourd’hui, on peut être satisfaits. Cette année, on a quand même fait beaucoup de podiums. Quand on voit qu’avec un moteur Renault, Red Bull domine la course et que Williams nous rejoint l’an prochain, on peut dire que l’on va dans la bonne direction. En agissant de la sorte, on ne cherche pas à mettre tous nos œufs dans le même panier puisque nous travaillons avec trois écuries et même quatre l’an prochain. »

Carlos Ghosn estime d’ailleurs que la marque au losange n’a pas véritablement intérêt à se réengager de nouveaux en tant qu’écurie à part entière : « En matière de visibilité, de crédibilité technologique et de fiabilité, nous avons beaucoup plus d’avantages à être dans la position dans laquelle nous sommes aujourd’hui. Financièrement, c’est aussi intéressant. Cela fait quand même une différence de 120 millions d’euros, c’est assez significatif ! Notre budget alloué à la Formule 1 est passé de 180 millions à l’époque de Renault F1 Team à 60 millions d’euros cette année. Je n’ai aucun doute sur le fait que c’est une très bonne stratégie. »

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