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Bahrain a jusqu'au 1er mai pour fixer une nouvelle date

F1. Devant des manifestations et des revendications politiques qui ne baissent pas en intensité, la F1 devient un sujet secondaire à Bahrain. Alors que Bernie Ecclestone souhaitait initialement que la nouvelle date d'organisation de l'épreuve bahrainie soit fixée avant le début de la saison en Australie, le Conseil Mondial de la FIA a indiqué aujourd'hui qu'elle laissait jusqu'au 1er mai au Royaume du Golfe pour trouver une nouvelle date.

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© GEPA Red Bull /

Devant des manifestations et des revendications politiques qui ne baissent pas en intensité, la F1 devient un sujet secondaire à Bahrain. Alors que Bernie Ecclestone souhaitait initialement que la nouvelle date d'organisation de l'épreuve bahrainie soit fixée avant le début de la saison en Australie, le Conseil Mondial de la FIA a indiqué aujourd'hui qu'elle laissait jusqu'au 1er mai au Royaume du Golfe pour trouver une nouvelle date.

Le communiqué de la fédération dirigée par Jeant Todt est ainsi laconique : «Le Conseil Mondial des sports automobiles a demandé à la Fédération des sports automobiles de Bahrain de lui communiquer au plus tard le 1er mai si le Grand-Prix de Bahrain peut être disputé en 2011.»

La situation est, en effet, particulièrement précaire pour le pouvoir en place. La semaine dernière, le gouvernement n'hésitait ainsi pas à déclarer qu'il craignait vraiment une scission du pays, où une minorité de Sunnites gouverne une majorité de Chiites depuis près de deux siècles. La situation est suffisamment prise au sérieux pour que les autres pays du GCC (Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis, Qatar et Koweït) commencent à parler d'un Plan Marshall à destination des deux pays aux ressources pétrolières les plus limitées et où les crispassions politiques se font le plus sentir : Bahrain et Oman.

Dans ces conditions, la F1 ne pourra se permettre de poser ses valises dans le petit Royaume déshérité que si la situation est parfaitement sure pour tous les agents présents (équipes, pilotes, journalistes, spectateurs) afin de ne pas offrir aux manifestants une plate-forme médiatique d'envergure mondiale.

Avec la participation de RacingBusiness.fr

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