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Vettel reconnaît être un mauvais perdant

F1. Le double champion du monde en titre reconnaît qu’il est mauvais perdant et avoue, après son accrochage en course avec Narain Karthikeyan, qu’il a parfois besoin de prendre du recul sur les choses. L’Allemand, actuellement 6ème au championnat pilote, reste malgré tout confiant de ses chances de jouer le titre cette saison.

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Avant même que la saison ne débute, Sebastian Vettel reconnaissait qu’il avait « toujours faim de victoires » et qu’il était « toujours énervé quand quelqu’un d’autre que [lui] l’emporte, ce qui est assurément une bonne chose. » Au volant d’une RB8 légèrement en retrait, le pilote Red Bull a vu Lewis Hamilton régner en maître sur la pole position ainsi que Jenson Button et Fernando Alonso s’imposer lors des deux premières épreuves de la saison. Après une deuxième place encourageante en Australie, le pilote allemand pointait au quatrième rang, en Malaisie, lorsqu’il croisa la route – et son pneu arrière, l’aileron avant – de la HRT de Narain Karthikeyan : « J’ai perdu une solide quatrième place et c’est évidemment décevant. Parfois, vous laissez transparaître vos émotions et je ne pense pas que quiconque devrait avoir honte de cela » reconnaît l’Allemand dans Sport Bild.

L’Allemand, qui avait honoré son homologue indien d’un doigt d’honneur et de propos peu flatteurs auprès des médias, ne cache d’ailleurs pas qu’il est un mauvais perdant : « C’est vrai, je ne peux qu’être mauvais quand je perds. Pourquoi devrais-je mentir ? Si je pouvais bien prendre la défaite, je ne serais pas en Formule Un. J’étais déçu » explique ainsi le double champion du monde allemand. « Sitôt après la course, j’avais le sentiment que je devais être honnête plutôt que jouer le rôle du mec souriant » poursuit Sebastian Vettel qui avait qualifié Karthikeyan « d’idiot » et de « cornichon ». Le pilote HRT n’a cependant pas été en reste en qualifiant l’Allemand de « pleurnichard ». Des échanges d’amabilités que les pilotes Force India avaient été les premiers à mettre sur le compte d’émotions exprimées à chaud après la course : « Je pense que Vettel était sous le coup de l’émotion à ce moment-là. Il a perdu des points, il était frustré pour lui et pour son équipe. A la fin de la journée, il est juste humain et parfois vous cédez à l’émotion » avait ainsi expliqué Nico Hulkenberg alors que Paul di Resta s’estimait convaincu que « beaucoup de choses ont été dites à chaud ».

Sebastian Vettel reconnait par ailleurs qu’il pouvait lui arriver de manquer de recul : « Parfois, ça prend dix minutes après la fin de la course pour revenir à son état normal et parfois il vous faut une nuit de sommeil pour prendre du recul sur les choses et regarder l’avenir de façon positive. Lorsque j’ai mis dehors Jenson Button, à Spa, en 2010, je me suis excusé auprès de lui le jour suivant » indique l’Allemand en référence à un accrochage qui lui avait valu le surnom de « crash-kid » de la part de McLaren.

Après avoir échoué à la porte des points en Malaisie, le pilote Red Bull ne compte que 18 unités au classement pilote dont il occupe le 6ème rang. Mais l’Allemand reste optimiste : « D’un point de vue purement sportif, j’ai plus de points aujourd’hui que j’en avais, à la même époque, en 2010, lorsque j’ai remporté le titre. Alors, je regarde seulement vers l’avant. »

Sur son blog, le pilote Red Bull assure qu’il aborde la suite de la saison avec une confiance intacte dans son écurie : « Après quelques jours de repos, je suis allé à l’usine de Milton Keynes pour retrouver l’équipe et travailler sur la voiture. Je reconnais que les deux premières courses n’ont pas été exactement parfaites, mais elles n’étaient pas mauvaises non plus. Nous avons montré que nous étions capables de concurrence les équipes les plus fortes et c’est très important. […] Il nous reste encore 18 courses à disputer et nous allons tout faire pour défendre nos titres. J’ai une foi totale en l’équipe, en la voiture et en moi-même. Il y a toujours plus à faire pour nous, mais ensemble, en tant qu’équipe, nous pouvons tout faire. »

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