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En direct de Budapest avec Charles Pic

F1. MotorsInside, présent dans le paddock de Budapest, est allé à la rencontre de Charles Pic à l'issue de sa qualification en 21ème position, une nouvelle fois devant son coéquipier Timo Glock.

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Charles Pic est ravi d'être de nouveau devant son coéquipier en qualifications
© LAT / Charles Pic est ravi d'être de nouveau devant son coéquipier en qualifications

Charles, encore une très bonne qualification, deux dixièmes de seconde devant Timo Glock.

«Oui, c'est sûr. Ici, avec l'usure des pneumatiques, il est important de trouver le bon compromis entre les qualifications et la course. Là c'est sûr qu'on a trouvé ce qu'il fallait pour les qualifications et je suis donc assez content de ce qu'on a réussi à faire. La qualification s'est bien passée. On a réalisé une belle qualification.»

Samedi matin, c'était plus compliqué. C'était parce que vous faisiez des simulations avec le plein d'essence ou y-avait-il une autre raison ?

«Non, samedi matin, c'était un peu compliqué sur mon premier set en médiums mais avec les tendres, ça s'est bien passé puisque j'ai terminé trois dixièmes devant Timo (Glock).»

Justement, on voit que tu le devances de plus en plus en qualifications. C'était déjà le cas chez lui en Allemagne la semaine dernière, c'est de nouveau le cas ici en Hongrie. Qu'est-ce qui explique cette montée en puissance ?

«C'est tout simplement qu'à chaque course, je connais de mieux en mieux l'équipe et la voiture. A chaque course, je progresse. Je sais que j'ai encore plein de choses à apprendre et donc je progresse au fur et à mesure. Donc à chaque course, c'est un peu plus facile, ce qui fait que mes performances s'améliorent.»

Et l'écart avec les Caterham ?

«Il est resté à peu près stable mais je ne pense pas qu'on parvienne à le baisser significativement. Je pense que maintenant, ça va rester comme cela jusqu'à la fin de la saison. Après je pense que l'écart sera plus faible en course demain que ce qu'il était aujourd'hui en qualifications. Il faut aussi prendre en compte la dégradation des pneus. On peut donc avoir une bonne carte à jouer là-dessus.»

Et maintenant, c'est quoi le programme de la pause estivale ?

«Je retourne sur Paris demain soir. Après, je pars en vacances en famille dans le sud de la France pendant une semaine et en Corse pendant une autre semaine. Je suis donc complètement off pendant deux semaines. Après je vais passer une semaine à l'usine, puis une semaine dans le simulateur de McLaren à Woking avant de partir pour la Belgique.»

De notre correspondant à Budapest

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