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Horner n'aurait pas prolongé Massa en 2013 mais Di Montezemolo assume

F1. Après que Christian Horner ait affirmé qu’il n’aurait pas prolongé Felipe Massa s’il avait été à la place des dirigeants de Ferrari, Luca di Montezemolo, président de la marque au Cheval Cabré, ne regrette pas la décision d’avoir renouvelé le contrat du Brésilien qui a, selon lui, joué un rôle vital dans le gain de la deuxième place au classement constructeurs.

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Felipe Massa entamera, en 2013, sa huitième saison chez Ferrari
© Ferrari / Felipe Massa entamera, en 2013, sa huitième saison chez Ferrari

En 2013, Felipe Massa devrait rentrer un peu plus dans l’Histoire de Ferrari, en défendant, pour la huitième année consécutive, les couleurs de la Scuderia. A cette occasion, le Pauliste devrait monter sur le podium des pilotes ayant disputé le plus de Grands Prix avec un même constructeur, derrière Michael Schumacher (180 Grands Prix chez Ferrari) et David Coulthard (150 Grands Prix chez McLaren).

L’avenir du Brésilien du côté de Maranello n’aura cependant tenu qu’à un fil et, si Stefano Domenicali et Luca di Montezemolo ont décidé de lui renouveler leur confiance pour 2013, Christian Horner, directeur de l’écurie Red Bull Racing, confie dans The Official Formula 1 Season Review 2012 que ça n’aurait pas été son cas s’il avait été aux commandes de l’écurie italienne : « Malheureusement, c’est un business difficile et basé sur les résultats. Il faut regarder ce que fait le type dans l’autre voiture, en supposant qu’ils aient le même matériel. De toute évidence, ils ont regardé d’autres pilotes – dont au moins un des nôtres [Mark Webber, ndlr] -, alors ils étaient évidemment concernés par sa forme, mais leurs options se sont avérées limitées. Ils ont pris leur temps avec Pérez qui, au début de l’année, semblait être bien parti pour ce baquet. Il a montré de réels progrès, il était membre de leur académie de jeunes pilotes et puis McLaren l’a officialisé. Ensuite, Felipe a visiblement retrouvé sa forme dans le dernier tiers de l’année. Manifestement, ils étaient en train de délibérer et quand la musique s’est arrêtée, ils ont probablement réalisé que c’était la meilleure option pour eux. »

Les candidats à la succession de Felipe Massa ont été nombreux mais, malgré un mauvais début de saison, le Pauliste constituait effectivement la meilleure option aux yeux de Luca di Montezemolo : « Massa s’est grandement amélioré durant la deuxième moitié du championnat, mais, dans la première moitié, il semblait être parti en vacances autour du monde, » ironise l’Italien auprès des journalistes présents lors de la Fête de Noël de Ferrari. « Au-delà de la plaisanterie, je pense que la décision de le confirmer était la bonne décision : si nous avions changé, nous aurions alors dû prendre quelqu’un qui aurait fait la différence et je ne peux pas dire que j’ai vu beaucoup de pilotes dans les parages qui puissent être plus rapides que Felipe. Nous ne voulions également pas changer l’équilibre et la bonne atmosphère qui règne dans l’équipe. Stefano Domenicali et moi, nous nous sommes dit que le mieux était d’attendre et la suite nous a donnés raison. Sur la fin de saison, lorsque Felipe était parfois même plus rapide que Fernando, les points qu’il a marqués ont joué un rôle vital pour assurer notre [deuxième] place au championnat des constructeurs. »

Mais le président de Ferrari, qui souhaite que la Scuderia fasse plus que prétendre au titre en 2013, sait que Felipe Massa fût loin d’être le seul et unique maillon défaillant en 2012 : « Encore une fois, cette saison, nous avons été dans la bagarre mais […] si nous réussissons à améliorer notre performance, alors nous pourrons être des vainqueurs. On peut voir le verre soit à moitié plein, soit à moitié vide, mais clairement, il y a beaucoup de regrets parce que ça s’est joué sur le fil. Après ce premier tour au Brésil, peut-être que les choses auraient pu tourner différemment parce que Fernando est parti en vacances, au début de la trêve estivale, avec une avance de quarante points sur son plus proche rival et parce que, quand il y a eu des accidents, nous avons été contraints à l’abandon alors que les autres ont pu continuer comme si de rien n’était. Cependant, le plus grand regret c’est que nous n’ayons pas eu une voiture qui soit suffisamment rapide pour remporter le championnat du monde. »

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