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Grand Prix d'Italie 2014 de F1 : Synthèse des stratégies

F1. Après le Grand Prix d'Italie de F1, remporté par Lewis Hamilton, devant Nico Rosberg et Felipe Massa, retrouvez l'analyse de la stratégie pneumatique.

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Rédigé par Par
Un arrêt, LA stratégie du Grand Prix
© Mercedes / Un arrêt, LA stratégie du Grand Prix

Pirelli prévoyait, avant la course, une stratégie idéale à un seul arrêt. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la marque italienne ne s’est pas trompée, sur un circuit où la conservation des gommes est chose aisée.

1 arrêt
Sur 20 pilotes classés, 19 ont utilisé une stratégie à un arrêt. Deux schémas étaient possibles selon Pirelli : la première était de s’élancer en pneus mediums. Evidemment, l’ensemble des pilotes du top 10 en qualifications (qui sont neuf dans le top 10 à l’arrivée après l'abandon d'Alonso) a obligatoirement démarré avec les gommes les plus tendres. Ils n’ont pas été les seuls puisque derrière eux, Raikkonen, Vergne, Maldonado, Kobayashi et Bianchi ont fait de même.

La véritable variable d’ajustement dans cette configuration était le moment de l’arrêt : Vettel s’est arrêté le plus tôt, suivi le tour suivant par Pérez. Pour l'Allemand, ce choix a payé immédiatement en lui permettant de dépasser ses concurrents directs mais il a aussi eu pour effet d’aggraver la dégradation des pneus durs en fin de course, l'empêchant de résister à Ricciardo. L’ensemble des autres pilotes partis en mediums se sont arrêtés au 20ème tour ou plus, comme le prévoyait Pirelli.

Cinq pilotes, tous hors top 10 au départ, ont au contraire choisi le second schéma proposé par le manufacturier italien : partir en durs. Dans ce cas, l’idée était de prolonger le premier relais au maximum pour profiter de la différence et pouvoir attaquer en fin de GP. A ce petit jeu, seul Kvyat est parvenu à un résultat probant : parti 21ème il s’est arrêté au 30ème tour pour monter les mediums. Il a échoué à la porte des points victime d’un problème de freins. Ericsson aussi a tenu 30 tours en durs avant de s’arrêter, sans pour autant avoir brillé. Hulkenberg, Sutil et Grosjean, eux, se sont arrêtés dans les mêmes eaux, voire même avant, les pilotes partis en pneus blancs.

3 arrêts
Esteban Gutierrez est le seul pilote classé à avoir effectué plus d’un arrêt. Son premier relais en pneus durs n’a duré que 9 tours. Il est ensuite repassé deux fois aux stands, dont une en raison d’une touchette avec Grosjean, au 48ème tour, qui a entraîné une crevaison.

Synthèse stratégie Italie

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