F1. Alors que les plus fous espoirs semblaient possibles pour l’écurie Williams après une campagne 2012 encourageante, ce début d’année est plus que compliqué pour l’écurie britannique et ses pilotes. Si le débutant Valtteri Bottas engrange de l’expérience sans être trop décevant, Pastor Maldonado, d’ordinaire si présent durant les courses et les qualifications, reste quasiment anonyme.
A la même époque, l’année dernière, lors du Grand Prix d’Espagne, Pastor Maldonado devenait l’idole de tout un peuple, le Venezuela, en remportant sur la piste de Barcelone sa première victoire. Il devenait également le premier pilote à s’imposer au volant d’une Williams depuis 2004, mettant ainsi fin à une période de disette de huit années pour l’écurie de Sir Frank, autant dire une éternité. Le jour des 70 ans de son patron, le succès de Pastor prenait alors une allure quelque peu mystique et faisait de l’homme, un pilote crédible dont on pouvait désormais oublier qu’il était surtout présent sur les grilles de départ grâce à l’aide financière du pétrolier national vénézuélien.Mais malgré cette victoire, la réputation de Maldonado était encore à faire. Une série de neuf courses consécutives après son succès sans marquer de points, et des accrochages à répétition ont fait de lui un pilote peu constant ...
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