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Monza 1963, Jim Clark et Lotus écrivent leur légende - Magazine
Un tour d'honneur empli de joie pour Chapman et Clark sur la Lotus 25

Monza 1963, Jim Clark et Lotus écrivent leur légende

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F1. Dimanche, le 8 septembre, date du Grand Prix d'Italie 2013, marquera, jour pour jour, les 50 ans du Grand Prix d’Italie 1963, couru sur le même autodrome de Monza. Cette course fut marquée par un double-premier sacre : celui d’un certain James Clark Jr., dit « Jim », et celui d’une écurie créée cinq ans plus tôt par Colin Chapman, Lotus.

Le tour d’honneur est magnifique : Jim Clark, enserré dans sa couronne de lauriers, offrande au futur Dieu de la course qu’il deviendra, pilote sans casque et avec le sourire dans sa Lotus 25, avec sur son "dos" Colin Chapman, fier, souriant à la foule italienne en brandissant le trophée du Grand Prix en signe de victoire totale. Clark et Lotus écrivent d’une même main le premier chapitre de leur(s) propre(s) légende(s).

1963, une saison en trombe...
La saison avait été jusque là presque parfaite. Seul le Grand Prix de Monaco, en ouverture de la saison, n’avait pas vu Jim Clark fouler son podium. La tenace malédiction de l’Ecossais sur le tracé de la Principauté n’en était qu’à ses débuts. En tête dès le 18ème des 100 tours que comptait l’épreuve, il doit se retirer, victime d’un accident, à 22 boucles de l’arrivée. Les caméras filment l’image toujours étonnante – pour nos yeux de 2013 – que cette foule entourant un Clark hagard, à quelques mètres des voitures qui remontent Ste Dévote. Un autre temps, mais pas encore celui de la légende de Jimmy…

C’est ensuite que tout s’accélère : la Lotus 25, premier bijou signé Chapman et première monoplace à châssis monocoque de l’histoire de la discipline, lancée en 1962, est toujours aussi rapide. Clark la magnifie toujours autant. Mais par rapport à la saison précédente, durant laquelle l’Ecossais remporte ses trois premières courses, elle s’avère enfin fiable, à tel point qu’il terminera les neuf dernières manches de 1963. Après Monaco, il signera d’ailleurs quatre succès consécutifs, dans toutes les conditions : sous la pluie à Spa et à Reims, sur le sec à Zandvoort et à Silverstone. Plus que les victoires, c’est la manière qui impressionne : Clark est magistral, dans son style coulé qui fera sa légende, et sur les 247 tours des quatre Grands Prix, il en mènera 244. John Surtees parvient à briser la série en s’imposant sur le Nurburgring, au volant de la Ferrari 156.

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