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Trois petits tours et puis s'en va - Magazine
Le Grand Prix d'Inde est menacé

Trois petits tours et puis s'en va

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© Sutton

F1. L’Inde va accueillir ce week-end sa troisième course de Formule 1. Mais le pays sait déjà qu’il ne sera pas présent au calendrier en 2014. Bernie Ecclestone martèle pourtant que le Grand Prix fera son retour en 2015, mais vu le nombre de prétendants, rien n’est moins sûr. Un sentiment de gâchis pourrait bien émerger de cette situation.

L’Inde et la Formule 1 ont une relation compliquée depuis toujours. Le pays voulait accueillir la discipline depuis 2009, un accord avait été signé dans ce sens entre les dirigeants indiens et Bernie Ecclestone, mais il aura fallu attendre la saison 2011 pour voir la course apparaître au calendrier. Sous l’impulsion de Vijay Mallya, propriétaire haut en couleurs de l’équipe Force India, et de l’Association Olympique Indienne, le Grand Prix attire près de 100 000 personnes pour sa première édition. Mais dès 2012, la course perd près d’un tiers de son public, plaçant l’Inde dans une situation financière et sportive délicate aux yeux de Bernie Ecclestone. Des désaccords sur le calendrier et la place de l’événement dans celui-ci sont aussi à l’origine de la mise à l’écart du Grand Prix pour 2014. Mais n’y a-t-il pas d’autres raisons à cet échec ?

L’Inde n’a jamais réellement été une patrie de sport automobile. Même si Mallya est présent en Formule 1 depuis de nombreuses années en tant que sponsors tout d’abord puis en tant que patron d’équipe, aucun pilote n’a réussi à s’imposer durablement dans la discipline. Et on le sait, le public arrive plus facilement à s’identifier et à s’enthousiasmer pour un homme que pour une équipe, aussi compétitive soit elle, mis à part les Italiens avec Ferrari sans doute.

Le premier représentant indien en Formule 1 a été Narain Karthikeyan. En débutant sa carrière chez Jordan en 2005, le natif de Chennai, au sud du pays, n’a pas réussi à faire preuve de son talent. Mis à la porte à la fin de l’année, il fera un retour anonyme six ans plus tard au sein de l’équipe HRT, à 34 ans, dans laquelle il courra une saison et demie avant de se tourner vers d’autres disciplines.
De son côté, Karun Chandhok, l’autre représentant indien en Formule 1, ne fera guère mieux. Il participera à la première saison de l’équipe HRT en 2010 puis fera une course pour Team Lotus (devenue depuis Caterham) la saison suivante avant de disparaître des écrans radars, non sans avoir tenté de briguer une place au sein de Force India.

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