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Dimanche : Alonso dans le top 5, Raikkonen pris en sandwich chez Ferrari

F1. Malgré quelques progrès, la Scuderia Ferrari sort du Grand Prix d'Allemagne de F1 avec un seul pilote dans le top 5, Fernando Alonso. De son côté, Kimi Raikkonen a été impliqué dans deux contacts qui lui ont coûté cher.

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Alonso dans le top 5 : le mieux qu'il pouvait faire, selon lui
© Ferrari / Alonso dans le top 5 : le mieux qu'il pouvait faire, selon lui

Fernando Alonso (n°14) – 5ème
Pour l’Espagnol, le Grand Prix n’a pas été de tout repos, puisqu’il fallait jongler entre la course à proprement parler et la gestion : « C’était une bonne course, même si c’était très complexe, car nous avons décidé de passer d’une stratégie de deux à trois arrêts. Il n’était pas facile de se battre tout en gardant un œil sur la consommation et, à la fin, avec l’aide des pneus neufs, terminer devant Ricciardo a permis de finir à la plus haute position possible. »

Les objectifs fixés sont modestes, tout comme la progression constatée : « Nous avons fait un petit pas en avant et même si ça ne s’est pas traduit au niveau des temps, c’est encourageant pour que l’on continue de progresser. Le but est toujours de marquer des points pour aider l’équipe au championnat constructeurs. »

Kimi Raikkonen (n°7) – 11ème
Le Finlandais a été impliqué dans deux touchettes, avec Sebastian Vettel et Lewis Hamilton, qui ont altéré le comportement de sa Ferrari F14-T : « C’est vraiment dommage la manière dont ma course s’est déroulée, parce que ce week-end, je me suis senti plus à l’aise et aujourd’hui, avec des pneus neufs, je marchais bien. Malheureusement, à deux reprises je me suis retrouvé coincé entre deux voitures et à chaque fois, mon aileron avant a été endommagé et ça a compromis ma course. La performance des pneus a chuté plus que prévu et j’ai eu du graining à l’avant gauche et je perdais de l’appui aéro. »

Cependant, malgré ce nouveau zéro pointé, il entrevoit des motifs de satisfaction : « Du côté positif, j’ai pu piloter comme je l’aime aujourd’hui. Je suis sûr que, sans ces problèmes, les choses auraient fonctionné différemment et j’aurais pu finir dans les points. »

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