F1. La valse des pilotes n'en finit plus au sein des petites équipes. Si la raison voudrait que celle-ci dépende de choix purement sportifs, la réalité est en fait tout autre et l'argent tient une fois de plus le rôle de décisionnaire. Tant pis pour les Kobayashi, Chilton ou Sutil.
Depuis la nuit des temps, c'est à dire depuis le jour où la Formule 1 est devenue un sport économiquement important et professionnel, les choix que doivent faire les équipes pour la titularisation de leurs pilotes dépendent d'aspects économiques souvent obscurs pour le simple passionné.Pourquoi Kamui Kobayashi n'a-t-il pas couru le Grand Prix de Belgique ? Pourquoi André Lotterer a-t-il fait ses débuts dans la discipline à 32 ans ? Pourquoi la place d'un pilote expérimenté comme Adrian Sutil pèse-t-elle moins lourd que celle d'un anonyme Esteban Gutierrez ? Autant de questions qui pourraient rester sans réponses si l'on s'arrête aux simples faits, sans aller chercher des indices plus loin.Pour revenir en Formule 1 après une année d'absence, Kobayashi a du faire un appel au don à ses fans du monde entier afin de pouvoir monnayer ses talents auprès d'une équipe en manque de fonds. Son choix, évidemment par défaut, ...
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