F1. Sir Lewis n’a jamais été aussi proche de goûter au calice. Mais pèse sur lui une lourde épée de Damoclès : si sa Merci l’Abbesse, lors de l’ultime course, venait à rendre l’âme, Nico Dix-Langues sacré lui ravirait l’oriflamme - ô frayeur, peur, horreur et terreur !
LE COMTE DE MONCET
Sur ce circuit qui monte et qui descend sans cesse,
Bosselé autrefois, aplani aujourd’hui,
Sir Lewis, impuissant en sa Merci l’Abbesse,
N’eut guère de succès devant son ennemi.
SIR LEWIS
/>16 novembre, 4h26
Je vous salue Bernie, plein de monnaie,
Le Pognon est avec vous.
Saint Bernie, Père du pèze,
Priez pour moi, pauvre Nico,
Maintenant et dimanche prochain.
LE COMTE DE MONCET
D’une lutte absolue entre les deux champions,
Qui dura tout le long sans jamais se faner,
Le mauvais sort hélas, en son abjection,
En décidera-t-il par la fiabilité ?