La F1 de retour en France au Paul Ricard
F1. Durant deux jours, la Formule 1 investit la circuit Paul Ricard pour des essais privés organisés par Pirelli. Le manufacturier de pneumatiques italien a convoqué les équipes Ferrari, McLaren et Red Bull pour tester, dans des conditions de piste humide, ses futures gommes 2017.
Aujourd'hui et demain, Sebastian Vettel, Kimi Raikkonen, Daniel Ricciardo, Daniil Kvyat et Stoffel Vandoorne vont faire résonner le bruit de leur V6 turbo sur la piste du circuit Paul Ricard, dans le sud de la France.
C'est <a href="/f1/actualite/20648-pirelli-va-faire-des-essais-au-paul-ricard-avec-ferrari-mclaren-et-red-bull.html"target="_blank"title="">à l'initiative de Pirelli</a>que trois équipes, Ferrari, McLaren et Red Bull, sont réunis sur le sol français durant ces deux jours pour effectuer des tests sur piste mouillée afin d'engranger le maximum d'informations sur la gamme de produit que proposera le manufacturier italien en 2017.
Bien entendu, afin que les trois équipes présentent sur la piste ces deux jours ne soient pas avantagées, ce sont des monoplaces de la saison 2015 qui seront mises à disposition des pilotes.
Le choix du circuit Paul Ricard pour accueillir ces essais semblait incontournable tant la piste française est un modèle du genre. En effet, même si elle n'accueille plus de Grand Prix de Formule 1 depuis 1990, la piste a été entièrement rénovée pour en faire un site dédié aux essais. La < i>High Tech Test Track</i>, qui est le cadre de nombreuses courses d'Endurance ou de formules de promotion tout au long de l'année, a donc, de tout temps, reçu le petit monde de la Formule 1. Mais avec la réduction des essais durant l'année, la discipline reine du sport automobile s'est faite plus rare. Sa venue, lors de ces deux jours, est donc un petit événement.
Pour cette première journée, Stoffel Vandoorne (McLaren), Kimi Raikkonen (Ferrari) et Daniel Ricciardo (Red Bull) seront en piste. Ces deux derniers seront remplacés demain par leurs équipiers respectifs, Sebastian Vettel et Daniil Kvyat.
<b>De notre envoyé spécial au Castellet</b>