Esteban Ocon : De la régularité et des points comme objectif
F1. Malgré les évolutions apportées à Barcelone, la Force India semble toujours un petit peu en retrait sur les tours rapides. Mais Esteban Ocon reste confiant sur les progrès possible tout au long du week-end et garde les points comme objectif en course.
La régularité a été le maître mot d'Esteban Ocon pour cette première journée sur la piste de Barcelone. 12ème temps de chaque séance d'essais, le pilote Force India a pu ainsi mettre à profit les évolutions apportées par son écurie pour ce premier Grand Prix européen de l'année.
De nombreuses nouvelles pièces ont donc été montées sur la monoplace du Français et il faudra encore un peu de travail ce week-end pour bien les faire fonctionner : « On a amené beaucoup de pièces différentes. Il faut comprendre ce qu'il nous a fait améliorer ou ce qu'il y a encore à travailler, c'est ce qu'on a fait le plus aujourd’hui. Après, avec les pneumatiques Durs et Médium, c'était difficile de comprendre quelque chose donc il faudra encore un peu de temps et d'amélioration, mais tout le monde s'améliore. » précise le pilote Force India.
Ocon pointe donc du doigt le choix de Pirelli, un peu trop conservateur à son gout : « Pirelli a été un peu trop prudent avec les pneumatiques. Du coup il y a de gros écarts entre le Tendres et le Durs et le Médium. Les pilotes vont donc choisir le plus possible le pneumatiques Tendres. »
Rapide en course, la Force India rencontre plus de difficultés sur un tour. Quand Motorsinside lui pose la question de savoir si les améliorations apportées à Barcelone vont changer la donne et sont déjà efficaces, Ocon répond : « Je ne peux pas dire non, car bien sûr, il y a des différences. Mais comme je l'ai dit, il va falloir que l'on comprenne encore un petit peu plus pour pouvoir gagner encore un peu de temps. »
Une place en Q3 et des points en course restent en point de mire pour le Français ce week-end :« L'objectif reste le Top 10 en qualifications et de se rapprocher des gros points en course. » conclut-il.
De notre envoyé spécial à Barcelone