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5000 postes menacés chez Renault

Automobile. Alors que le gouvernement s'est réuni hier avec les principaux intervenants du secteur automobile français afin de trouver les solutions pour relancer la dynamique post-Covid, Renault laisse entendre, via son plan d'économies, que 5000 postes seront amenés à disparaître d'ici 2024.

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L'avenir de Renault en F1 encore incertain
© Renault / L'avenir de Renault en F1 encore incertain

Travaillant depuis plusieurs semaines sur un vaste plan économique en raison de sa délicate situation financière, aggravée d'autant plus par la crise du Covid-19, Renault compte vraisemblablement se séparer à moyen terme, de 5000 postes au sein de ses usines. Si cette annonce reste à confirmer officiellement dès ce vendredi, il semble néanmoins que cette réduction d'effectifs passera par une non-reconduction de postes et non des licenciements.

Cette information croise les décisions du gouvernement qui, après s'être réuni avec une quinzaine d'intervenants déterminants du secteur automobile français le 26 mai, a dévoilé un vaste plan de soutien au marché. En effet, en plus des 5 milliards d'euros de prêts garantis à l'ex-Régie, c'est une enveloppe de 8 milliards d'euros qui sera affectée au support financier du marché automobile dans son ensemble.

Déjà en difficultés avant la crise du Covid-19 avec l'annonce de la fermeture de différents site de production, celle-ci a aggravé la situation de la marque au Losange qui se voit dans l'obligation de prendre des décisions difficiles afin d'assurer sa pérennité économique.

Alors que le gouvernement a opté pour mettre le cap sur l'électrique et les véhicules propres, souhaitant que la France devienne le plus grand producteur de véhicules non polluants en Europe, la stratégie de Renault, acteur majeur du secteur avec sa Zoé, sera cruciale afin de définir une vision à long terme de l'auto française de demain.

Si cette annonce vient assombrir l'avenir de Renault en F1, le récent partenariat de la branche sportive Renault Sport F1 avec DP World, 3è exploitant portuaire mondial, rassure tout de même en ce qui concerne la présence de la marque française sur le plateau F1 en 2021.

Reste à voir si la compatibilité entre le drastique plan d'économie et le maintient en F1 peut s'effectuer sans remous majeurs.

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