2014, Tout est prêt !

On y arrive.
Pour les fans que nous sommes, l’attente peut être longue. Tout est question de point de vue !
Pour les concepteurs, les ingénieurs, les mécaniciens, le temps manque toujours.
Les pilotes eux, se remettent : en forme, en question, entre de nouvelles mains, ou de leurs frustrations !
Mais on y est ! L’Australie arrive d’un bond et, une fois à l’Albert Park, c’est dans la poche !

Du neuf pour du mieux (?)
On oublie le moteur, on a un groupe propulseur … Epoque oblige, on recycle encore plus : tout ce que l’on freine est mis en boite pour … accélérer le moment opportun. « Kers » à dire ? Technologie contradictoire, mais magique.
On joue toujours plus finement avec Éole, source inépuisable d’ingéniosité, au détriment parfois de la beauté de ces filles du vent que sont les F1 modernes. Filles que les règlements volatiles rendent rétives, capricieuses, exigeantes et fragiles. Pour les ceindre de couronnes, les pilotes hausseront leur talent, leur finesse de jugement, leurs attentions et leur « vista ».

On recommence.
Comme chaque année, venus de la glace ou du feu, nos matadors de la vitesse descendront dans la reine … des disciplines auto, remettront l’ouvrage sur le métier du combat contre le temps, un équipier, une horde d’adversaires et … contre eux-mêmes. Certains avec l’objectif suprême, beaucoup pour rester accrochés à cette comète élitiste, de rêves et sauvage, qu’est la Formule 1.

Un peu de hauteur.
Un frémissement heureux se fait enfin sentir. La F1 se donne des « elles » ! offre doucement des baquets à des femmes ambitieuses, réalistes et bientôt légitimées. Celles, déjà respectées et reconnues qui portent sur les couleurs de leur équipe le badge « Team Manager » n’en seront que d’autant plus mises en lumière.
On ne peut que s’en réjouir, sans verser cependant, dans la volonté d’une « Amazones F1 Team » !
Mais vivement quelques « GridBoys » tenant fièrement l’ombrelle de leurs protégées sur la grille de départ.