Avec ses deux voitures sur le podium, McLaren continue d'engranger des points. Max Verstappen tire Red Bull vers le haut quand Ferrari est à la peine. Derrière, certains se sont illustrés. Le point sur l'évolution du classement constructeurs après ce Grand Prix du Japon.
L'écurie britannique creuse l'écart au classement constructeur après le doublé Piastri-Norris. Mercedes gère sa deuxième place quand Ferrari tombe de haut après la disqualification de ses deux pilotes. Haas et Williams font le plein.
Dans la nuit de vendredi à samedi (à 4h du matin, heure française), les 20 pilotes s'élanceront pour la première course sprint de la saison. C'est Lewis Hamilton qui partira en pole position. Voici les raisons d'assister à cette course très matinale.
En première et troisième séances d'essais libres, Ollie Bearman a connu deux sorties de piste. Un début de week-end douloureux et coûteux pour Haas. Le pilote britannique partira 20e sur la grille de départ.
Au cours d'une séance hachée, c'est George Russell qui a réalisé le meilleur temps. Alex Albon et Oliver Bearman se sont accrochés en piste après un malentendu. S'il n'y a pas eu de conséquences physiques pour les pilotes, la séance a été perturbée par un long drapeau rouge.
Arrivé chez Williams à la place de Logan Sargeant après la trêve estivale, Franco Colapinto a déjà conquis le cœur de sa nouvelle écurie et celui du monde de la Formule 1. Seulement, et ce malgré ses performances, le jeune Argentin de 21 ans n'a pas de contrat pour l'année prochaine.
Durant cette première séance d'essais à Singapour, c'est Charles Leclerc qui a pris le meilleur temps devant Lando Norris et Carlos Sainz. Red Bull s'est montré un peu en retrait tout comme Mercedes, qui n'a pas encore trouvé le rythme.
Le 31 août dernier, Mercedes a annoncé la titularisation d'Andrea Kimi Antonelli pour la saison 2025, en remplacement de Lewis Hamilton. Sans grande expérience mais doté d'un talent indéniable, le jeune Italien est propulsé dans la catégorie reine du sport automobile. Un mariage avec Mercedes, pour le meilleur et pour le pire.
Au cours d'une qualification tendue, c'est Charles Leclerc qui a décroché la pole position, devant Oscar Piastri et Carlos Sainz. Après avoir accroché le mur, Max Verstappen partira seulement sixième sur la grille.
Au cours de cette séance cruciale avant les qualifications, Charles Leclerc a repoussé tous ses concurrents à plusieurs dixièmes. Max Verstappen s'est rapproché mais le Néerlandais est toujours confronté à une monoplace incertaine.
Remplaçant d'un Carlos Sainz souffrant de l'appendicite, Oliver Bearman a fait ses débuts au volant de la Ferrari. Du côté des cadors, Max Verstappen met tout le monde d'accord.
En déménageant son département aérodynamique à Milton Keynes, AlphaTauri a renforcé ses infrastructures ainsi que ses effectifs, tout en se rapprochant géographiquement de Red Bull, basé dans la même ville. Une situation qui ravive les questions concernant le rapport entre les deux équipes.
Sous contrat jusqu'en 2025 mais menacé par la FIA, le circuit de Zandvoort, dont le Grand Prix se déroulera du 23 au 25 août prochain, a débuté une phase de travaux afin d'être le plus proche possible des normes de la FIA et espérer renouveler son contrat à l'avenir.
En 2023, le Mexicain a réussi à sauver une deuxième place au championnat du monde, malgré une saison en deçà des attentes. À bientôt 34 ans, il espère vivre 2024 d'une meilleure manière et affirme ses ambitions. Cependant, ces dernières pourraient bien se transformer en illusion.
Quatre Grand Prix au Moyen-Orient, prolongation de l'Azerbaïdjan jusqu'en 2026 ou encore retour de la Chine au calendrier en 2024, la Formule 1 n'a jamais été autant un outil géopolitique que ces dernières années. Au sein d'un monde où le sport devient un enjeu de soft power, la Formule 1 devient l'objet de convoitises de la part d'États en quête de visibilité et de puissance, dissimulant par la même occasion des facettes parfois bien sombres.
Si Red Bull et Max Verstappen ont tout raflé en 2023, Stefano Domenicali semble optimiste concernant la concurrence de l'écurie autrichienne la saison prochaine.
Sur le tracé de Yas Marina, c'est Yuki Tsunoda qui a réussi à tirer son épingle du jeu afin d'être élu pilote du jour. Auteur d'une course très solide, le Japonais a brillé dans le milieu de peloton
Après un an sans baquet en Formule 1 Mick Schumacher va retrouver un volant en 2024. Il sera pilote d'Alpine en Hypercar, qui a également annoncé son équipage pour la prochaine saison de WEC.
Pour connaître la nouvelle identité de l'écurie de Faenza, il faut encore attendre. Si la marque Hugo Boss a été évoquée, le CEO d'AlphaTauri, Peter Bayer, a confirmé qu'il s'agirait d'un nom plus classique.
Après avoir percuté une plaque d'égout en première séance d'essai, la voiture de Carlos Sainz a subi de lourds dégâts. Face à la nécessité de monter de nouvelles pièces sur la voiture, Ferrari a demandé à la FIA de supprimer les pénalités. Une demande rejetée par l'instance internationale.
Après une saison compliquée, AlphaTauri reprend des couleurs depuis quelques Grand Prix. Il reste deux Grand Prix à l'écurie de Faenza pour tenter de dépasser Williams.
Après un Grand Prix du Brésil marqué par de nombreux dépassements dans la voie des stands, Max Verstappen et Sergio Perez évoquent les nouvelles règles introduites par la FIA et émettent des questionnements quant à ces dernières.
Victime d'un accrochage avec son coéquipier Nico Hülkenberg et Alex Albon, Kevin Magnussen a été contraint à l'abandon dès le 1er tour. Une fin frustrante pour le Danois, qui avait un bon feeling pour inscrire des points.
Dans le midfield lors du Grand Prix du Mexique, Nico Hülkenberg s'est longtemps battu avec sa Haas et sa forte dégradation pneumatique, espérant ramener des points à l'écurie américaine. Cependant, sa monoplace ne lui a pas offert mieux qu'une frustrante 13e place.
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