Rétro - Italie 2006 : Et Schumacher tira sa révérence...

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F1. Pendant la trêve, MotorsInside vous propose de revenir sur la Formule 1 des années 2000 en vous livrant, deux fois par jour, et jusqu'à la fin de la semaine, une liste de dix faits marquants retenus par la rédaction. Lorsque celle-ci sera entièrement dévoilée, vous aurez la possibilité de voter pour désigner l'image que vous gardez de cette décennie. Évidemment, nous nous devions de revenir sur la première retraite de Michael Schumacher, annoncée à Monza, en 2006.

<b>L’œil dans le retro</b>

10 septembre 2006. A peine l’hymne allemand a-t-il cédé sa place à l’hymne italien pour célébrer la cinquième victoire de Michael Schumacher sur l’autodrome de Monza, qu’au même instant, la salle de presse est submergée par une dépêche émanant de la Scuderia Ferrari. Sur le podium, le rite est immuable, le baron rouge est accoutumé à l’exercice au soir de sa 90ème victoire en Grand Prix, et pourtant le champagne n’a pas la même saveur. Quelques instants plus tard, les caméras braquées sur lui, les flashs crépitant et alors que la voix de Peter Windsor tonne dans les haut-parleurs de la salle de presse, l’esprit du pilote Ferrari divague.

Dans un relent nostalgique, le Kaïser voit défiler les faits marquants de sa carrière. Le souvenir du petit kart à pédales offert par son père, alors qu’il n’avait que 4 ans précède celui de son premier face à face avec le danger de ce petit bolide, bricolé par son père, lorsqu’il termina sa route dans un lampadaire. Rien n’arrêtait alors le petit Michael et ses premiers tours de roues sur le tarmac de la piste de Kerpen ne seraient que la confirmation d’une vocation. Sa rencontre avec Wily Weber, sa conquête à l’arraché dans le championnat allemand de F3 puis sa victoire controversée de Macao sont autant de souvenirs remontant à la surface de sa mémoire. L’allemand se souvient des bons souvenirs comme des mauvais, de sa première victoire, à Spa, à son exclusion de la saison 1997 pour sa manœuvre du Grand Prix d’Europe ;de son sacre chez Ferrari, en l’an 2000, au podium d’Imola, où, aux côtés de son frère, il pleure sa mère, décédée quelques heures plus tôt.

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