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L'héritage de Grosjean, Pic et Vergne : les pionniers (1950-1969) - Magazine
Maurice Trintignant en tête à Monaco en 1958

L'héritage de Grosjean, Pic et Vergne : les pionniers (1950-1969)

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F1. Avec trois pilotes français titulaires en 2011, la France retrouvera un contingent qu'elle n'a plus connu depuis 1995 en Formule 1. MotorsInside vous propose de revenir sur ceux qui ont écrit l'histoire tricolore de la discipline, en commençant par les années 1950 et 1960 : l'époque des pionniers et des premiers accessits. Retrouvez également la deuxième et la troisième parties de ce dossier.

Quand le 13 mai 1950, le monde du sport automobile accouche de la Formule 1 sur la base militaire désaffectée de Silverstone, la France en est. L’écurie Talbot a amené avec elle quatre pilotes : ce sont donc Philippe Etancelin, Yves Giraud-Cabantous, Eugène Martin et Louis Rosier qui se sont élancés, devenant du même coup les premiers ambassadeurs tricolores de la discipline ;les pionniers.


Dès cette première course, Yves Giraud-Cabantous (45 ans) marqua les trois points de la quatrième place, suivi par Louis Rosier avec deux points. Il s’agit des premières unités françaises dans ce qui deviendra la discipline reine. Peu connu du Grand Public, le premier ne réitérera jamais sa performance, mais réussira malgré tout à terminer cinquième au Grand Prix de Belgique 1951. Sa carrière totalisera treize courses, à une époque où les saisons n’en comptaient qu’une demi-douzaine.

Il faudra attendre le Grand Prix de Suisse 1950, disputé sur le circuit de Bremgarten, pour que Louis Rosier (44 ans) parvienne à faire monter la France sur son premier podium. Une troisième marche qu’il retrouvera d’ailleurs dès la course suivante, à Spa, faisant de lui, au terme de cette saison inaugurale, le meilleur Français au classement général, quatrième derrière Giuseppe Farina, Juan-Manuel Fangio et Luigi Fagioli et leurs redoutables Alfa Romeo.
Sa carrière comptera 38 courses, réparties sur sept saisons, au volant de trois écuries différentes : Talbot, avec qui il commença sa carrière, Ferrari, pour laquelle il ne marquera aucun point, et Maserati, où il inscrira les deux points de la cinquième place dans l’avant dernière course de sa carrière, au Grand Prix d’Allemagne 1956.

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