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La F1 continuera d'aller à Bahreïn selon Ecclestone

F1. La situation politique à Bahreïn ne semble pas compromettre le contrat à long terme entre le Royaume et la Formule 1. C’est en tout cas ce que déclare Bernie Ecclestone.

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© GP2 Series / Bahreïn va continuer avec la F1 /

L'unité entre Bernie Ecclestone et Jean Todt concernant la légitimité de l’organisation d’un Grand Prix à Bahreïn a été confirmée ce week-end. Pour les deux personnalités, la Formule 1 n’entre pas en ligne de compte des problèmes civils ou politiques des lieux qu’elle fréquente.

Mais au milieu de toute cette saga bahreïnie, Ecclestone avait laissé entendre que la prolongation du contrat liant le Royaume et la FOM, risquait d’être difficilement négociable. Il faut rappeler que le contrat actuel lie les deux parties pour encore trois années.

Mais lorsque l'on demande au Britannique si la Formule 1 va continuer à aller au Bahreïn sur le long terme, il répond de manière affirmative : « Absolument. Toujours. Il n’y a aucun problème. »
Comme Jean Todt, il pense que la réputation de la discipline n'a pas souffert de cette décision de courir le Grand Prix ce week-end : « Je pense que c'est une bonne chose. Vous savez, tout le monde en parle. Cela n'a pas été une mauvaise publicité. »

Mais pas tout le monde partage l'avis d'Ecclestone. Par exemple, le journaliste Suisse du quotidien Bilk, Roger Benoit, pense que la Formule 1 a perdu en terme d’image et il se dit consterné par la manière dont la politique a interféré dans le sport ce week-end : « Nous allons vers des pays qui sont explosifs politiquement parlant, où les droits de l’homme sont violés et où la pauvreté règne. Mais nous avons du mal à en parler comme en Chine, en Inde, en Corée en Malaisie, au Brésil…et en 2014 nous allons aller en Russie. Il y a quelques années, notre cirque a joyeusement dansé autour de l'apartheid en Afrique du Sud, et de la dictature militaire en Argentine. La Formule 1 est un pur divertissement. Isolé des problèmes du monde. Mais ici, à Bahreïn, chaque journaliste est entré sur le terrain politique, qu'il le veuille ou non »

Bernie Ecclestone défend néanmoins sa position : « Fondamentalement, les problèmes présents à Bahreïn n'ont rien à voir avec la Formule 1. Les organismes compétents ont donné le feu vert dans la mesure où la sécurité a été concernée, et je pense qu'il est clair qu'ils n'ont pas eu tort. »

Pour le patron de la FOM, la Formule 1 n'a pas été récupérée politiquement, et il ne voit aucun problème avec cette situation : « Les gouvernements veulent avoir une course de F1 pour la même raison qu'ils veulent les Jeux olympiques. Nous arrivons à des accords avec les promoteurs et, si c'est bon pour le pays, tant mieux », a-t-il déclaré.

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