F1. Le dimanche 29 décembre 2013, Michael Schumacher est victime d'un accident de ski à la station de Méribel, en Savoie. Depuis, les informations tombent au compte-goutte. Un véritable dilemme se pose à la foule de médias présente devant le CHU de Grenoble, où est hospitalisé Michael Schumacher. Comment informer les millions de personnes en attente de nouvelles du septuple champion du monde tout en respectant l'intimité de la famille ?
Le dispositif déployé devant le CHU de Grenoble est impressionnant. Une centaine de journalistes, de médias du monde entier, font le pied de grue devant l'hôpital, dans l'attente et à la recherche d'une information à communiquer. Depuis <a href="/f1/actualite/16775-michael-schumacher-dans-un-etat-critique-nouveau-point-a-11h.html"target="_blank"title="">l'hospitalisation de Schumacher le 29 décembre</a>, ils n'ont eu "que"<a href="/f1//f1/actualite/16775-michael-schumacher-dans-un-etat-critique-nouveau-point-a-11h.html/actualite/16776-F1-Etat-de-sante-de-Michael-Schumacher-sa-situation-reste-critique.html"target="_blank"title="">deux conférences de presse du personnel médical du CHU de Grenoble</a>et un point presse et deux communiqués de Sabine Kehm, l'agent de Michael Schumacher, à se mettre sous la dent. Et à chaque fois, le message était assez clair.<b>Où est la limite entre vie publique et vie privée ?</b>Depuis lundi 30 décembre, les médias ont été de nombreuses fois rappelés à l'ordre par l'entourage de Michael Schumacher. Ce jour-là, Sabine Kehm a lu un communiqué à la demande de la famille de Michael Schumacher. « Nous remercions également les gens dans le monde entier qui ont exprimé ...
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