F1. Dimanche dernier, Fernando Alonso résumait sa course à un « cauchemar ». Ca ne se limite pas à la Malaisie 2014. Son arrivée chez Ferrari en 2010 était prometteuse. L'alliance du feu avec le feu. Quatre ans plus tard, aucun titre de champion du monde à se mettre sous la dent... Pour un pilote de son talent, le voilà, le cauchemar. Il s'appelle Ferrari.
Cher Fernando,
Belle preuve de perspicacité de ta part au Grand Prix de Malaisie. « Pour être franc, cette course fut un peu un cauchemar. » Cauchemar. Le terme résonne encore dans le paddock du Grand Prix de Malaisie. L'écho pourrait bien se prolonger toute la saison 2014, vu le manque de confort de ton matelas frappé du cheval cabré.
La vie en rouge ne fait pas voir la vie en rose, Fernando. Le rêve Ferrari prend de sérieuses allures de cauchemar depuis déjà quatre ans. Tu viens seulement de te réveiller en Malaisie ? En tant qu'Espagnol, on pouvait t'imaginer couche-tard. Te voilà somnambule.