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F1. Grand Prix de Malaisie 2014 : La course en messages radio

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Grand Prix de Malaisie 2014 : La course en messages radio

F1. Après le Grand Prix de Malaisie, retrouvez une sélection des messages radios qui ont marqué cette course remportée par Lewis Hamilton, devant Nico Rosberg et Sebastian Vettel.

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C'est bizarre, il y a qu'une voiture qui a abandonné...
© LAT / "C'est bizarre, il y a qu'une voiture qui a abandonné..."

Quoi de mieux pour revivre le Grand Prix écoulé qu’une retranscription des messages radio les plus marquants. Motors Inside vous les propose, s’appuyant sur les données du site F1Fanatic.co.uk.

Tour de formation
Les dernières consignes sont données et les pilotes informés des choix des uns et des autres. « OK Jenson, c’est bien. Continue de faire monter les freins en température » demande Bernadette Collins. Nico Hülkenberg reçoit quant à lui l’information sur les gommes : « Tous les pilotes sont en mediums, à part Pérez, dans la ligne des stands. »

Tour 1
Jean-Eric Vergne, dont le départ s’est mal passé en raison d’un problème moteur, se retrouve au milieu d’un groupe composé des Marussia et des Caterham et touche le pneu arrière-gauche de la Marussia de Jules Bianchi. Il s’en plaint à Xevi Pujolar :
« Stupide Marussia ! Je pense que j’ai cassé mon aileron avant…
- Compris.
- Je n’ai absolument aucune puissance, rien du tout.
- La puissance revient. Problème de températures. Peux-tu confirmer pour l’aileron avant, JEV ? »

Tour 2
En lutte pour la 7ème place contre Kimi Räikkönen, Kevin Magnussen touche le pneu arrière-gauche de la Ferrari du Finlandais :
« J’ai un pneu crevé à l’arrière.
- OK, on voit ça. Box, box.
- Je ne sais pas ce qui est arrivé au pneu, car je n’ai touché personne.
- D’après les données, il est parti immédiatement. Comme des débris, ou quelque chose comme ça. Tu rentres pour des mediums, des mediums neufs, »
lui indique Antonio Spagnolo.

Tour 4
Les soucis de Vergne continuent : « Eh ben, il vaudrait mieux avoir un meilleur moteur parce que sinon je peux vous dire que je ne vais pas aller loin. C’est vraiment lent. »

De son côté, Nico Rosberg, 2ème, envoie un message d’alerte : « Vraiment du mal avec les [pneus] arrière pour le moment. » Message qui est aussitôt transmis au leader, Lewis Hamilton : « OK Lewis, Nico est en difficulté avec ses pneus arrière. Assure-toi de prendre soin d’eux. »

Tour 5 et 6
Valtteri Bottas, à la faveur d’un bon départ, est dans l’échappement de son coéquipier, Felipe Massa. Il reçoit une première consigne : « Nous devons laisser Felipe dépasser Magnussen, pour info, » lui explique Jonathan Eddolls.

Mais il décide tout de même de mettre la pression sur Massa. Ce dernier réagit vivement : « Vous avez vu ça ? Il m’a touché ! »
Eddolls prévient alors le Finlandais une nouvelle fois :
« N’attaque pas Massa. Ne sois pas agressif sur Massa, nous devons le laisser passer Magnussen et ensuite nous le suivrons juste.
- Eh ben, dis-lui de passer. Je suis plus rapide. »

Tour 7
Pastor Maldonado, en difficulté depuis le début de course, reçoit le message redouté : « OK Pastor, nous devons rentrer la voiture pour abandonner à la fin de ce tour. »

Tour 8
Tony Ross indique le nombre de tours qu'il restera à Rosberg avant son arrêt :
« Donc, ‘’8 riche’’ à la fin de ce tour.
- Ca fait beaucoup de tours. La dégradation à l’arrière est élevée. »

Tour 10
Kevin Magnussen est appelé aux stands après avoir effectué plus de 8 tours avec un aileron avant cassé. Il lance la première salve des arrêts aux stands. « Pneus durs, pneus dur » lance-t-on à l’adresse d’Adrian Sutil.

Tour 11 et 12
Peter Bonnington informe Lewis Hamilton : « OK Lewis, tu fais du bon travail. Tu gères vraiment bien l’essence, donc continue juste de pousser. Tu fais de l’excellent boulot dans la gestion des pneus, prends soin d’eux. »

Avant de rentrer aux stands, Massa est informé de la situation de Magnussen : « Magnussen a une pénalité. Magnussen, dans la McLaren. » Après son passage aux puits, Magnussen reçoit d'ailleurs l’ordre de jouer l’économie : « OK Kevin, nous somme sur le plan B. Plan B. Concentrons-nous sur un pilotage régulier pour le reste de la course – ce sont les pneus et l’essence. Du pilotage propre, sûr et régulier. »

Tour 13
Massa aux stands, Jonathan Eddolls motive Bottas : « Donc, c’est le moment de pousser, Valtteri. Nous continuons encore quelques tours. C’est le moment d’attaquer. »

Sebastian Vettel demande, pour sa part, quelques ajustements : « Aileron avant, moins quatre. Aileron avant, moins quatre. » Le tour suivant, il reçoit l’ordre de rentrer.

Tour 14
Xevi Pujolar voit Vergne se rapprocher d’une Marussia. Mais visiblement, l’ingénieur de course pensait à sa chambre d’hôtel : « OK JEV, si tu te rapproches de Chilton, OK pour utiliser le dépassement. Dépassement pour deux tours. Rapproche-toi de Hilton… Chilton. »

Tour 16
Juste avant son arrêt, Hamilton est informé de la longueur du relais à faire : « Ca sera un relais similaire pour les prochains pneus. Donc ça sera des mediums – pas d’ajustement de l’aileron. » Quand il ressort, il se trouve derrière la Force India de Nico Hülkenberg, il a carte blanche : « Nous avons un avantage de deux secondes au tour, utilise le bouton de dépassement si tu en as besoin. » Il prendra rapidement l’avantage sur l’Allemand : « OK Lewis, prends juste soin des ces pneus. Ecart avec Nico [Rosberg] : 7.6 secondes. »

Tour 17
Daniel Ricciardo est à moins de deux secondes de Vettel. Son stand lui demande de prendre ses distances :
« OK Daniel, nous te suggérons de reculer un peu pour prendre soin des pneus. Objectif de deux secondes sur Vettel. Alonso est trois secondes derrière toi.
- La Mercedes est plus près. Si quelque chose se passe, je veux en être.
- OK Daniel, compris.
- Je serai doux avec les pneus, mais je ne veux pas perdre de temps inutilement.
- OK mon pote, compris. »

Tour 19
Comme beaucoup, Vettel doit être attentif : « OK Sebastian, tu as 2.5 secondes d’avance sur Ricciardo. Garde en tête l’écart avec Rosberg. N’abîme pas tes pneus. »

Tour 20
Course terminée pour Vergne : « OK JEV, ça va être box et directement dans le garage. »

Tour 21
Pour Rosberg, augmenter le rythme face à Vettel ne sera pas simple :
« Euh, l’écart avec Vettel est actuellement à 2.5. Nous aimerions augmenter l’écart et ensuite nous irons vers plus d’économies.
- Difficile d’aller plus vite. »

Tour 22
Comme en Australie pour Rosberg, Hamilton veut s’assurer qu’il gère bien son moteur quand on lui demande :
« Nous allons surveiller le moteur. Nous allons juste le faire fonctionner un peu moins. Ca va être HPP2 sur ‘’position deux’’. C’est pour les deux voitures.
- Juste pour être sûr : j’ai bien fait ça ?
- Compris, c’est correct. »

Lors du tour suivant :
« Y a-t-il quelque chose de plus que je peux faire pour prendre soin de ce moteur ?
- Non. Tu fais du très bon travail en ce moment, Lewis. Nous te dirons, mais continue de faire ce que tu fais. Et Nico, plus rapide d’une demi-seconde le dernier tour : il essaie juste de creuser l’écart avec Vettel. »

Tour 25
Mark Temple continue sa série de bons conseils à l’adresse de Kevin Magnussen : « Et Kevin, pense à boire. Bois. »

Du côté de Rosberg, l’écart n’est pas suffisant : « Ecart avec Vettel de 3.6, nous aimerions que ça monte à 5, s’il te plait. » Quelques instants plus tard, il indique qu’il ne souhaite pas de changements au niveau de l’aileron avant.

Tour 27
Petite communication style cockpit d’avion de chasse entre le stand et la Red Bull n°3 :
« OK Daniel, qu’est-ce que tu penses de l’aileron avant ? Et charge 5. Charge 5. Est-ce tu veux changer les réglages de l’aileron avant ?
- On est toujours sur 3-3-3 ?
- Ouais, je confirme.
- Je pense que nous pouvons augmenter de deux ou trois clics. »

Tour 29
Massa reçoit l’ordre de rentrer aux stands. Une fois l’arrêt effectué, Andrew Murdoch lui donne les directives : « OK Felipe, nous devons prendre soin des pneus arrière dans ce relais. Nous devons les faire durer. Retour au mode standard, mode standard. »
Son équipier, Bottas, continue son relais :
« Combien de tours reste-t-il à ce rythme dans tes pneus de ton point de vue ? Combien de tours dans les pneus ?
- Deux ou trois. »

Tour 30
Le temps semble se gâter aux alentours du circuit. On prévient Rosberg : « Il y a de la pluie pas loin, pas absolument imminente, mais nous la voyons sur le radar. »

Du côté de Sauber, Sutil est 14ème. Son ingénieur le questionne :
« Adrian, est ce que la stabilité est un problème partout, ou juste les virages à haute vitesse, basse vitesse ?
- C’est seulement à haute vitesse.
- OK, OK. »

Tour 32
Hamilton a été informé des risques de pluie. Sa stratégie sera adaptée pour cette éventualité : « OK Lewis, nous allons essayer d’étirer ces relais aussi loin que possible pour nous protéger contre la pluie. » Il rentrera malgré tout à la fin du 33ème tour.

Du côté de Rosberg, une telle chose n’est pas possible :
« Les pneus sont morts.
- Box, box, box. »

Tour 34
Du côté d’Hülkenberg, la dégradation pneumatique est importante :
« Je perds vraiment l’arrière maintenant.
- Compris, Nico. Couple 5. Couple 5. Rentre aux stands dans ce tour, rentrée aux stands confirmée. »

Tour 35
La pluie est arrivée sur Sepang : « Il pleut un peu sur la partie arrière du circuit, » indique Räikkönen. « OK, on reste en piste. Nous verrons comment ça évolue, le temps. » lui répond Spagnolo.

Tour 36
Du côté de Ricciardo, la consommation d’essence est bonne, il est autorisé à être plus agressif : « OK Daniel, va jusqu’au ‘’bip’’. L’essence est OK, va jusqu’au ‘’bip’’. » Le ‘’bip’’ est le son à partir duquel les pilotes Red Bull doivent relâcher l’accélérateur pour économiser de l’essence avant les virages.

La Sauber d’Adrian Sutil vient de s’arrêter au début de la ligne droite des stands. Mais Hamilton s’inquiète surtout pour sa voiture :
« Je peux voir de petites gouttes de pluie sur ma visière, à la sortie du virage 9. Que puis-je faire pour prendre soin de ma voiture encore un peu ?
- OK Lewis, tu as un double-drapeau jaune dans le dernier virage. Commissaires sur la piste, donc va une demi-seconde moins vite. La pluie que nous voyons sur le radar est très, très légère. Donc, rien d’inquiétant pour le moment, mais tiens-nous au courant. Nico est 0.1 secondes moins vite – écart de 11 secondes. »

Tour 37
Alors qu'il suit Rosberg de près, Vettel avertit son stand :
« Rosberg semble perdre soit de l’huile, soit de l’eau depuis deux tours déjà.
- Compris. Il pleut dans les virages 9 et 10, si c'est là que tu as vu quelque chose. Kobayashi devant, retardataire. […] Et Sebastian, tu dois utiliser la deuxième vitesse dans les virages 1, 2 et 9. »

Tour 38
Ricciardo est sous la menace d’Alonso, il demande des informations à Simon Rennie :
« En quels pneus est Alonso ?
- Medium. Alonso en medium. »

Tour 40
Guillaume Rocquelin tente d’avertir Vettel :
« Sebastian, il y a des taches [sur l’écran radar, ndlr] dans le coin, virage 14.
- Rocky, plus fort quand tu parles. Parle plus fort et répète.
- Compris. Il y a de la pluie dans l’air, et des averses dans le virage 14, mais la piste est sèche. »

Tour 41
Ricciardo rentre dans les stands pour son dernier arrêt. Il se passe mal :
« L’avant-gauche n’est pas fixé.
- OK, stop ! Reste où tu es. »

Tour 43
Vettel revient sur Romain Grosjean, à qui il va prendre un tour : « Tu peux demander à Charlie [Whiting] qu’il lui mette un drapeau bleu ? »

Après avoir perdu gros dans les stands, la situation de Ricciardo empire quand son aileron avant se décroche au passage sur un vibreur. Il croit d’abord à une crevaison :
« J’ai une crevaison à l’avant-gauche. Que dois-je faire ?
- Les pressions semblent bonnes Daniel… si tu penses que tu as une crevaison, rentre.
- Ouais, c’est une grosse coupure.
- OK, compris.
- J’ai toujours de l’air, mais ça va partir, je pense.
- Mode 6. Mode 6. Alonso est maintenant 8 secondes derrière toi. Box dans ce tour, box dans ce tour. Nous allons changer les pneus et l’aileron avant. »

Tour 44
Après cet incident, on informe Lewis Hamilton : « Donc, tu es dans la fenêtre de la Safety car. Il y a des débris sur la piste, je te préviendrai où. »

Du côté de Vettel, toujours derrière Grosjean, le ton se fait plus agressif : « Si vous pouviez demander à Charlie de lui dire en français, peut-être qu’il va comprendre. »

Tour 47
Les difficultés s’amoncèlent pour Ricciardo :
« OK Daniel, nous avons un drive-through, pardon, un stop-and-go.
- On peut dire que c’est une sacrée journée.
- OK Daniel, on continue. Il pourrait y avoir de la pluie. Continue mon pote. »

Tour 48 et 49
Comme tous les leaders, la stratégie de Rosberg est de retarder au maximum son dernier arrêt dans l’attente d’une possible pluie : « Voici la situation : il reste encore 9 tours. Nous devons toujours passer les durs, nous attendons toujours pour la stratégie. »« On dirait que tout le monde reste dehors pour cette pluie. Continue juste de gérer les pneus, tu fais de l’excellent boulot » indique-t-on à Hamilton.

Tour 52
Alors que la salve d’arrêts aux stands a commencé, Daniel Ricciardo se retire : « On abandonne, box dans ce tour, box dans ce tour. OK Daniel donc arrête toi et coupe. Reste juste dans la voiture une minute, s’il te plait, reste dans la voiture. »

Tour 53
La bataille déjà fameuse entre les pilotes Williams a repris : « OK Felipe. Valtteri est plus rapide que toi, ne le retiens pas. Valtteri est plus rapide que toi, ne le retiens pas. » Du coté de Bottas, l’ordre est inverse : « Tu es plus rapide que Massa, double-le ! Tu es plus rapide que Massa, double-le maintenant ! »

« OK Felipe, Valtteri est plus rapide que toi, il a des pneus plus frais, ne le retiens pas, » insiste Murdoch : « OK Felipe, Valtteri a de meilleurs pneus que toi, nous devons le laisser passer. »

Tour 54
De son côté, Grosjean a subi un problème. Il est en difficulté et sous la menace de Räikkönen :
« OK Romain, continue d’utiliser le bouton de dépassement.
- Je fais de mon mieux, c’est de pire en pire.
- Ouais, compris Romain. »

Les communications continuent du côté de Williams. Une voix non-identifiée s’adresse à Massa :
« Felipe, tu es plus lent que Valtteri, laisse-le passer. Tu es plus lent que Valtteri, ne le retiens pas.
- Je vais plus vite. »

Du côté de Bottas, les consignes arrivent aussi, pour préserver le moteur :
« Serre à droite pour refroidir le moteur dans la ligne droite.
- Mon rythme est meilleur mais il lâche tout dans chaque ligne droite, je n’ai aucune chance de passer.
- Compris, nous courons contre lui. »

Même consigne pour Massa : « Felipe, nous devons refroidir la voiture. »

Tour 55
Du côté de Lewis Hamilton, on s’offre un petit plaisir en réalisant deux boucles de suite le meilleur tour. Peter Bonnington n’est pas fan :
« OK Lewis, tu es l’homme le plus rapide en piste, on peut baisser de rythme un petit peu. Prends soin de la voiture. Donc, 1.3 plus rapide que Nico sur le dernier tour, 14.7 d’écart. Ericsson est devant.
- OK mec, je t’entends.
- Si tu pouvais juste garder le régime un peu plus élevé lors des rétrogradations, ça sera bon. »

Il entre dans le dernier tour :
« OK Lewis, tu es dans le dernier tour, ne prends pas de risque. »

Tour 56
Chez Williams, on décide de figer les positions : « OK Felipe, nous conservons les positions, Valtteri ne va pas t’attaquer, Valtteri ne va pas t’attaquer. Refroidis juste la voiture, continue de refroidir la voiture. »
Mais du coté de Bottas, l’envie ne manque pas. Il questionne le muret des stands :
« Je peux l’avoir dans le prochain tour. Je peux y aller ?
- Nous devons vraiment refroidir le moteur. Négatif pour le dépassement. »

Arrivée
« Superbe course Lewis. Superbe course. Week-end sans fautes. Tu as fait le boulot mon vieux.
- Vraiment reconnaissant pour le boulot, les gars. Merci beaucoup ! »

Mais les choses sérieuses continuent :
« Strat mode 11. Surveille la, ramène la à la maison, ramène les tours à la maison. T’as fait un boulot épique Lewis. C’est un doublé pour Mercedes. P3 pour Vettel. Ensuite Alonso, Hülkenberg, Button, Massa, Bottas, Magnussen, Kvyat. Super boulot.
- Ouais, bien joué Lewis, avec toi, ça paraissait facile, »
lui lance une voix non identifiée (peut-être celle de Toto Wolff ?)

Rocquelin félicite Vettel :
« Bon boulot mon vieux. Tu t’es bien battu, nous n’avions pas le rythme, on a fait du bon boulot.
- Merci les gars. Course bien réalisée. Nous ne sommes toujours pas où nous voulons être. Il y a beaucoup de trucs à améliorer, mais nous allons le faire.
- Bien joué Sebby. Tu as fait au mieux avec ce qui était disponible, bien joué. »

Pour finir, dernière communication entre le stand Williams et Bottas :
« Donc, tu as fini P8. Super boulot, nous savions qu’il y avait mieux à faire, nous discuterons après.
- Merci les gars, bien joué. Je suis juste à 100% sûr que je pouvais avoir la McLaren. »

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