F1. Le Royaume de Formule Avoine a ses rois mais il a aussi ses bouffons : Malaria et Catastrophe, les deux dernières écuries, éternelles habituées aux places de déshonneur. Leurs conducteurs vivent d’amour et d’eau fraîche, à défaut de points et de podiums…
Deux nouveaux personnages apparaissent dans cette chronique :Mad Max n’est en aucun cas une menace puisqu’il pilote pour Malaria. Son seul fait d’armes est de finir chaque course, fût-ce à trois lunes du vainqueur.Sire Ericsson est un jeune page de Catastrophe. Les mauvaises langues prétendent que son pilotage est par trop téléphoné.LE COMTE DE MONCETIl y a pour qui descend parmi les catacombes
Le déplaisir certain de trouver quatre tombes :
Celles de malheureux à qui la honte incombe,
Pour vivre à chaque course une même hécatombe
P’TIT JULESHue ! Que diable : du nerf ! Avance donc, charrue !
Jusqu’à quand durera mon ire contenue ?
J’entendais progresser… mais j’étais ingénu.
Voire… forcer l’allure est pour toi incongru.
MAD MAXPeu me chaut dans quel ordre les courses je finis.
Seul m’importe en soi d’achever le Grand Prix
Et d’éviter surtout chaque charivari :
Eh ! Voici donc pourquoi ...
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Le drapeau bleu est agité !
Contre nous de la FIA
L’étendard azur est levé
L’étendard azur est levé !Entendez-vous dans nos cockpits
Mugir ces féroces stewards ?
Ils viennent jusque dans nos casques,
Ordonner que nous cédions la place.Aux rames, galériens !
Formez la queue de peloton !
Ramons, ramons !
Qu’un abandon
Nous offre un petit point – petit point !
Formule Avoine sur Twitter, c'est aussi des vers inédits le samedi et durant la course.