F1. Spleen, ô Spleen ! La Grande Parade de Russie - toute entière dédiée au pauvre Bianchi - fut parsemée hélas d’un profond ennui. Le peuple regrettait un manque de spectacle et une procession simulacre, lors que Sir Lewis, véloce en son fiacre, filait vers son sacre.
LE COMTE DE MONCET
Nous arrivâmes au vrai tout en joie en Russie,
Excités par l’idée d’être ici accueillis
Par de nouvelles têtes sur un nouveau circuit ;
Ah ! L’espoir était vif ! Mais partout fut l’ennui.
Oh, certes, dites-vous : il y eut de l’action !
- Mais trop peu pour qu’en nous demeura la passion.
Voir Nico remonter - bien médiocre grabuge -
N’était en somme hélas un puissant subterfuge.
Lire cet article pour 4€4€3€ 20 (engagement 12 mois)
Cet article est premium. En l'achetant, vous nous aidez à financer notre rédaction.
Créer un compte
Votre avis