Symonds se satisfait d'assister au retour de Manor Marussia
L’hiver a failli être fatal pour Marussia, mais un groupe d’investisseur est venu à la rescousse de la jeune écurie, qui travaille d'arrache-pied pour être au départ à Melbourne.

La semaine dernière, la FIA avait précisé que Manor avait payé ses frais d’inscription pour la saison 2015 du Championnat du Monde de Formule 1. L’écurie avait profité de l’occasion pour annoncer le nom de son premier pilote, Will Stevens.
L’actuel directeur technique de l’écurie Williams, Pat Symonds, s’est montré plus qu’heureux de la potentielle survie de Manor Marussia, pour laquelle il avait été consultant technique en 2013.
« Je suis heureux de voir qu’ils seront peut-être là à Melbourne, »explique Symonds. « Je pense que l’on a besoin de ce genre d’équipe. »
Pour appuyer ces propos, l’ingénieur britannique est revenu sur sa propre carrière en Formule 1 : « En 1981, j’ai commencé dans une petite équipe appelée Toleman. Nous ne savions pas vraiment ce que nous faisions, mais l’équipe est ensuite devenue Benetton, puis Renault et elle s’appelle actuellement Lotus. »
« Je pense que ce serait vraiment dommageable si les petites équipes venaient à disparaître. J’ai travaillé pour eux et j’ai beaucoup de respect pour ce qu’ils essayent de faire. Ils veulent courir, ils n’ont pas d’intérêts politiques. Ce sont des coureurs à l’ancienne. C’est vraiment difficile d’être en F1 et leur succès ne sera que plus grand. »
L’an dernier, Marussia avait inscrit deux points, les premiers de son histoire, grâce à Jules Bianchi lors du Grand Prix de Monaco. Elle avait ensuite manqué les trois dernières courses de la saison avant d’être placé sous administration avant qu’une solution soit trouvée.
L’actuel directeur technique de l’écurie Williams, Pat Symonds, s’est montré plus qu’heureux de la potentielle survie de Manor Marussia, pour laquelle il avait été consultant technique en 2013.
« Je suis heureux de voir qu’ils seront peut-être là à Melbourne, »explique Symonds. « Je pense que l’on a besoin de ce genre d’équipe. »
Pour appuyer ces propos, l’ingénieur britannique est revenu sur sa propre carrière en Formule 1 : « En 1981, j’ai commencé dans une petite équipe appelée Toleman. Nous ne savions pas vraiment ce que nous faisions, mais l’équipe est ensuite devenue Benetton, puis Renault et elle s’appelle actuellement Lotus. »
« Je pense que ce serait vraiment dommageable si les petites équipes venaient à disparaître. J’ai travaillé pour eux et j’ai beaucoup de respect pour ce qu’ils essayent de faire. Ils veulent courir, ils n’ont pas d’intérêts politiques. Ce sont des coureurs à l’ancienne. C’est vraiment difficile d’être en F1 et leur succès ne sera que plus grand. »
L’an dernier, Marussia avait inscrit deux points, les premiers de son histoire, grâce à Jules Bianchi lors du Grand Prix de Monaco. Elle avait ensuite manqué les trois dernières courses de la saison avant d’être placé sous administration avant qu’une solution soit trouvée.