Faites partie de l'équipe

Nous privilégions la qualité et l'expérience de lecture. Bénéficiez de nos contenus premiums et d'une expérience plus rapide et sans publicités.

Voir les avantagesDécouvrir les abonnements
Sans engagement
A partir de 4€ / mois

Renault finit sa course dans les rails plutôt que dans les points à Monaco

F1. Pour son Grand Prix « presqu'à domicile », Renault F1 n’a guère brillé. Kevin Magnussen et Jolyon Palmer n’étaient pas dans le rythme et aucun des deux n’a fini autrement que dans un rail.

Logo Mi mini
Rédigé par Par
Une course à oublier pour Renault
© Renault / Une course à oublier pour Renault

Le pilote danois, le mieux placé sur la grille, a été victime d’un petit accrochage avec Daniil Kvyat à la Rascasse : « Nous avons pris un bon départ en début de course et sommes vraiment rentré au bon moment pour changer les intermédiaires, juste après la Voiture de Sécurité. Nous étions parmi les seuls à faire ce choix si tôt et c’était la bonne décision. (…) Malheureusement, Kvyat a simplement perdu ses esprits et m’a percuté et ce fut comme la fin de ma course. »

Kevin Magnussen a ensuite abandonné peu après, suite à une collision, cette fois-ci attribuable à sa seule faute. Avec plusieurs tours de retard sur les leaders, sa course avait perdu tout intérêt. « C’est dommage que nous n’avons pas eu bon week-end alors que nous étions très optimistes pour la course. (…) Nous devrions être plus forts à Montréal [dans quinze jours] et devrions faire parler les forces de nos évolutions pour la voiture ». Il faut certes l’espérer pour Magnussen, car la RS16, malgré des évolutions aérodynamiques et moteur, ne semblait pas dans le rythme à Monaco.

De l’autre côté du garage, Jolyon Palmer continue de décevoir son monde. Le pilote anglais, déjà parti à la faute en essais libres, est à nouveau parti saluer les rails à la reprise de la course, au 8ème tour. Le champion GP2 est passé sur une zone trop humide sur un passage piéton dans la ligne droite des stands et a perdu le contrôle de sa monoplace. « Il n’y avait rien que je ne puisse faire – j’étais simplement un passager et suis allé tout droit dans le mur » a confié Palmer. « C’est vraiment difficile. Nous savons que les zones blanches sont plus glissantes, mais elles sont partout. Je suis déçu parce que j’adore cette piste qui m’a bien réussi par le passé. »


Frédéric Vasseur songerait-il davantage à remplacer Jolyon Palmer par Esteban Ocon lors des prochaines courses ? Le directeur de la compétition chez Renault n’a bien sûr laissé transparaître aucun indice. Il s’est concentré sur la contre-performance de son écurie : « Ce fut un week-end difficile pour nos deux voitures. La course de Jolyon s’est finie dans la ligne droite aussitôt que la course reprenait. Il a un choc asses sérieux, à haute vitesse, et cela a mis fin à sa journée. Il n’y avait rien à faire » s’est contenté de déclarer le responsable français à propos de son second pilote.

Votre avis

Vous avez déjà un compte ? Me connecter

Merci de choisir un pseudo.
Votre email est obligatoire pour valider votre commentaire.
Commentaire en attente de publication. Un email vous a été envoyé.
Le formulaire n'est pas valide.

Un e-mail de vérification vous sera envoyé avant la publication de votre commentaire.

Abonnez-vous

Motors Inside, c'est :
- 20+ déplacements / saison à travers le monde (F1, WEC, Karting),
- Des journalistes et des photographes,
- Du contenu de qualité depuis 2007,
- Des reportages, insides et des interviews exclusives.

Voir les avantages

Abonnez-vous

Motors Inside, c'est :
- 20+ déplacements / saison à travers le monde (F1, WEC, Karting),
- Des journalistes et des photographes,
- Du contenu de qualité depuis 2007,
- Des reportages, insides et des interviews exclusives.

Voir les avantages
Sans engagement, à partir de 4€ / mois

Breaking news

Ne ratez plus aucune "breaking news" grâce à la nouvelle newsletter Motors Inside. Recevez dans la minute les infos importantes.

Un lien de vérification vous sera envoyé.
Merci de renseigner votre adresse e-mail.
Haut