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Wehrlein subira un nouveau scanner la semaine prochaine

F1. Le pilote Sauber est ressorti indemne de son accrochage avec Jenson Button. Toutefois, il s'agira de procéder à un examen supplémentaire, du dos, d'ici les prochains jours.

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La lutte entre Pascal Wehrlein et Jenson Button s'est mal terminée
© Sauber / La lutte entre Pascal Wehrlein et Jenson Button s'est mal terminée

Lointain 18ème, Pascal Wehrlein aura connu son moment de gloire lors de ce Grand Prix de Monaco mais bien malgré lui. Passé aux stands dès le premier tour, l'Allemand contenait depuis Jenson Button, dans une lutte du fond de peloton. Dépassé par la Ferrari de Vettel, le pilote Mclaren Honda voyait là une opportunité pour dépasser la Sauber.

Seulement voilà, l'ex-pilote Manor lui fermait la porte avec autorité, dans le virage du Portier. L'engrenage entre les roues des deux voitures fut terrible : la Sauber décolla en l'air, sur le côté, pour terminer sa course contre le mur à l'extérieur de la trajectoire. Coincé entre sa voiture et le mur, Wehrlein a du être libéré par les commissaires. Mais le champion DTM parvenait à marcher normalement, seul, vers le centre médical. Le check-up d'usage était dès lors obligatoire, après un tel choc.

Quoi qu'il en soit, son agacement était visible au micro des journalistes venus à sa rencontre. Jenson Button n'a pas été épargné ! « Il était nul part, ce n'était clairement pas le virage où dépasser. C'était une manœuvre dangereuse ! J'ai touché la barrière avec la tête, j'aurai donc un autre scanner à passer la semaine prochaine pour mon dos, nous verrons bien. J'ai pu sortir moi-même de la voiture, ça a l'air d'être ok. Evidemment, je ne suis pas sûr ! Je me rappelle de tout. C'était juste effrayant ! Les freins de la voiture commençaient à sentir et je ne pouvais pas sortir de la voiture. C'est pourtant la seule chose que je voulais faire à cet instant ! »

Tentant de se décharger de toute responsabilité, le pilote Mclaren-Honda avait lui prévenu en amont les hautes instances de possibles accrochages : « Les voitures sont difficiles à voir dans le rétroviseur. Je l'avais dis à l'équipe et à la FIA. J'ai essayé de l'éviter mais c'était trop tard et nous nous sommes touchés. Ses pneumatiques était complètement morts, je pensais que j'allais l'avoir à l'intérieur. Pour un pilote de course, c'est difficile de conduire sans tenter une attaque ! »


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