F1. Daniel Ricciardo a débarqué en Formule 1 en 2011 au volant d’une modeste HRT. Depuis, l’Australien a fait son chemin dans la discipline mais est toujours en attente de son premier titre de champion du monde.
Toujours de bonne humeur, rarement fâché même lorsque la situation lui échappe, Daniel Ricciardo est un des personnages les plus appréciés du petit monde de la Formule 1.
En 2020, le pilote Renault va entamer sa dixième saison dans la discipline avec à son palmarès 7 victoires et 3 pole positions. Un bilan qui peut paraître bien maigre pour un pilote qui va passer le cap des 180 Grands Prix disputés lors de la manche inaugurale de cette saison 2020.
Le natif de Perth a soif de victoires et il clame avec ardeur sa volonté de ramener Renault vers le succès. Leur première année de collaboration en 2019 aura été décevante de l’aveux des deux parties. Aucun podium et une 4ème place au Canada comme meilleur résultat n’ont pas réussi à les satisfaire…et on les comprend !
Dans de récentes déclarations, Ricciardo a avoué qu’il ne s’attendait pas à atteindre les 30 ans sans avoir eu au moins un titre de champion du monde du monde en poche. Pourtant, il aura pris toutes les décisions nécessaires à ses yeux pour y arriver.
Les équipes vont évoluer en terrain connu, avec des données/datas fiables qui faciliteront la mise au point. Comme les pneus sont aussi des redoublants, l'optimisation sera, en principe, de rigueur.
Si les écarts en course sont moins marqués, il n'est pas impossible que les incidents de course propulsent McLaren, Renault, Racing Point, Alpha Tauri voire d'autres en position de décrocher des podiums plus aisément. Peut-être, certaines remontées-éclair, sur des circuits accidentés s'avèreront plus difficiles à concrétiser.
De là à penser que des podiums à la Gasly seront envisageables, il ne coûte rien de l'espérer... pour Renault et Ricciardo comme pour les autres.
Quant à l'avenir de l'Australien, s'il n'est envisageable que chez Ferrari ou Mercedes, il va devoir attendre la fin des négociations de Vettel avec Ferrari, la nouvelle clef des futurs transferts.