Grand Prix de Bahreïn : la colère de Vettel
F1. Élimination dès la Q1 et frustration du quadruple champion du monde pour sa première qualif’ chez Aston Martin.
Les soucis poursuivent Sebastian Vettel ! Venu chez Aston Martin pour se relancer, l’expérience débute mal avec une 18e place à l’issue des qualifications du Grand Prix de Bahrein.
Ralenti par le tête-à-queue de Mazepin
Comme pour Esteban Ocon, la sortie dés la Q1 pour Vettel s'explique notamment par un drapeau jaune brandi dans le premier virage. L’Allemand est passé juste après le tête à queue de Nikita Mazepin.
« Nous aurions pu certainement être plus rapides. Mais c’était impossible de remonter avec le drapeau jaune. C’est comme ça ! Maintenant, nous allons essayer de faire ce que nous pouvons pour demain (ndlr : dimanche) » a souligné Vettel dans le carré des journalistes.
L’ancien pilote Ferrari s’est en fait retrouvé dans un peloton très compact de voitures, soumis aux aléas. « C’était le bazar » a réagi le pilote frappé du numéro 5.
Au final, Vettel aura du monde devant lui au départ de son premier Grand Prix avec Aston Martin. Mais le quadruple champion du monde reste philosophe... avec un brin d'agacement : «si je panique maintenant, est-ce que ça va m’aider ? Si je suis contrarié ? Bien sûr, je suis contrarié et en colère. Ce n’était pas notre faute d’une certaine manière. »
Sebastian Vettel : « bien sûr, je suis contrarié et en colère. Ce n’était pas notre faute d’une certaine manière. »
4 fois vainqueur à Bahreïn, Vettel retient quand même du positif de son samedi : « je suis en train d’apprendre. Nous avons encore beaucoup de travail devant nous. Je pense que nous pouvons remonter. »
Ce dimanche, Vettel s'élance de l’avant-dernière ligne, comme avec Ferrari au Grand Prix d’Italie en septembre 2020. Parti 17e, l'Allemand avait abandonné sur un problème de freins.