
C’est une action qui aurait pu lui couter plus cher. Ce samedi, Lando Norris a été pénalisé de 3 places sur la grille de départ (et de 3 points de pénalité sur sa superlicence), pour ne pas être rentré immédiatement dans la voie des stands après le drapeau rouge en Q1.
En apprenant cette sanction, le pilote McLaren a estimé qu’il s’agissait d’une injustice et demandait « plus d’indulgence pour certaines situations ». Le directeur de McLaren, Adreas Seidl, avait également réclamé plus de souplesse.
« Ne pas avoir la possibilité de recevoir une réprimande pour ça, par exemple, et le besoin de mettre une pénalité, c'est décevant. Mais en fin de compte, c'est comme ça, il n'y a aucun intérêt à perdre davantage d'énergie à ce sujet. », avait-il déclaré.
Pourtant Lando Norris a bel et bien profité de la clémence des commissaires. L’ancien pilote Enrique Bernoldi – qui officiait comme pilote commissaire à Bakou – a rappelé que cette infraction est en général punie de 5 places de pénalité. Pourquoi cette indulgence ? Car le Britannique se trouvait trop proche de la voie des stands au moment du drapeau rouge, pour réagir correctement.
Le directeur de course, Michael Masi s’était même permis un petit rappel de la règle, qui est mise en place dès les plus petites catégories. « Du karting à la Formule 1, quand un drapeau rouge est brandi, la signification est très claire : ralentissez et rentrez immédiatement au stand. Il n'y a donc aucune ambigüité, d'un enfant de six ans qui participe à sa première course de karting jusqu'à la Formule 1. C'est une constante sur tous les circuits de course. »
Malgré la compréhension et la souplesse des commissaires concernant la pénalité sur la grille de départ, Lando Norris n’a pas profité de cette même clémence par rapport aux points de pénalités sur sa licence.
« Concernant les points et la pénalité en elle-même, les commissaires peuvent appliquer les sanctions qu'ils estiment appropriées pour un incident (…). Toutefois, pour ce qui est des points de pénalité, ils ont eu le sentiment que c'était approprié puisqu'il s'agissait d'une infraction sous drapeau rouge. », avance Michael Masi.
En apprenant cette sanction, le pilote McLaren a estimé qu’il s’agissait d’une injustice et demandait « plus d’indulgence pour certaines situations ». Le directeur de McLaren, Adreas Seidl, avait également réclamé plus de souplesse.
« Ne pas avoir la possibilité de recevoir une réprimande pour ça, par exemple, et le besoin de mettre une pénalité, c'est décevant. Mais en fin de compte, c'est comme ça, il n'y a aucun intérêt à perdre davantage d'énergie à ce sujet. », avait-il déclaré.
Pourtant Lando Norris a bel et bien profité de la clémence des commissaires. L’ancien pilote Enrique Bernoldi – qui officiait comme pilote commissaire à Bakou – a rappelé que cette infraction est en général punie de 5 places de pénalité. Pourquoi cette indulgence ? Car le Britannique se trouvait trop proche de la voie des stands au moment du drapeau rouge, pour réagir correctement.
Le directeur de course, Michael Masi s’était même permis un petit rappel de la règle, qui est mise en place dès les plus petites catégories. « Du karting à la Formule 1, quand un drapeau rouge est brandi, la signification est très claire : ralentissez et rentrez immédiatement au stand. Il n'y a donc aucune ambigüité, d'un enfant de six ans qui participe à sa première course de karting jusqu'à la Formule 1. C'est une constante sur tous les circuits de course. »
Malgré la compréhension et la souplesse des commissaires concernant la pénalité sur la grille de départ, Lando Norris n’a pas profité de cette même clémence par rapport aux points de pénalités sur sa licence.
« Concernant les points et la pénalité en elle-même, les commissaires peuvent appliquer les sanctions qu'ils estiment appropriées pour un incident (…). Toutefois, pour ce qui est des points de pénalité, ils ont eu le sentiment que c'était approprié puisqu'il s'agissait d'une infraction sous drapeau rouge. », avance Michael Masi.