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Andreas Seidl veut éviter le risque d'épuisement en F1

F1. Le directeur de l'écurie Mclaren, Andreas Seidl, espère que la F1 fournira un calendrier 2022 qui empêchera le risque de burnout. Pourtant, 23 courses devraient être au programme, un record.

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Le personnel en F1 peut-il supporter un calendrier qui ne cesse de s'allonger ?
© Mclaren / Le personnel en F1 peut-il supporter un calendrier qui ne cesse de s'allonger ?

Le 15 octobre prochain, la F1 publiera son calendrier 2022 après la prochaine réunion du Conseil Mondial du Sport Automobile de la FIA. Pas moins de 23 courses semblent être programmés et dans un délai plus court que cette saison. Cela suggère que les triple-headers (les courses qui s'enchaînent sur trois week-ends d'affilés) seront plus nombreux afin de, peut-être, diminuer la charge de travail autant que possible.

Stefano Domenicali, le PDG de la F1, s'est exprimé sur le sujet au micro de Sky F1. « L'idée est d'assurer un bon rythme au calendrier, il faut s'assurer que le flux logistique soit correct. Mais je peux vous dire sans trop de risques que la saison prochaine débutera mi-mars et se terminera mi-novembre. »

Dans l'histoire de la F1, le calendrier n'a jamais cessé de s'allonger. On comptait sept grands prix seulement en 1950 (année de naissance du championnat), 16 courses dans les années 80, 19 en 2010 et une vingtaine aujourd'hui. De plus, la F1 ne se dispute plus majoritairement en Europe. Le sport s'est ouvert au monde et on dénombre de plus en plus de courses en Asie, en Amérique ou au Moyen Orient. Les week-ends de course s'enchaînent de plus en plus aux quatre coins de la planète et c'est ainsi qu'on vu le jour les fameux triple-headers (notamment depuis la crise sanitaire).

Malgré la promesse d'un bon rythme, l'augmentation de ces derniers n'est pas forcément bien vu au sein du paddock. Andreas Seidl s'oppose clairement à ce calendrier mais ne veut pas parler trop vite. « Je ne veux pas parler du calendrier tant que ce dernier n'est pas terminé. Notre position en temps qu'écurie est clair, l'idéal est d'avoir un calendrier de 20 courses avec 15 grands prix fixes et cinq autres qui pourraient changer chaque année pour pouvoir explorer de nouveaux pays par exemple. Il est important que ce calendrier soit conçu de manière stable et durable pour tout le personnel de la F1, mais aussi de manière écologique. Je pense que Stefano examine tout cela et qu'il saura trouver le bon équilibre. Il est important que nous ayons un bon dialogue avec la F1 » a-t-il conclu.

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