
Depuis plusieurs semaines voire plusieurs mois, certaines marques du groupe Volkswagen sont associées à une éventuelle entrée en Formule 1 dans les prochaines années. Audi et Porsche, puisque ce sont elles dont il s'agit, pourraient venir côtoyer Ferrari, Mercedes et Renault parmi les constructeurs présents dans l'élite du sport automobile.
En marge du Grand Prix d'Emilie-Romagne, certains patrons d'équipes ont été interrogés sur l'éventualité d'une telle arrivée. Après avoir été associé à McLaren, Audi serait désormais proche d'Aston Martin : « C'est extrêmement attirant d'avoir la possibilité de s'associer à un grand constructeur mondial. » a déclaré Mike Krack, le Team Principal de l'équipe propriété de Lawrence Stroll. « Je mentirais si je disais que je n'étais pas intéressé. Je souhaiterais vraiment leur parler. »
Présent à ses côtés, son homologue chez Williams, Jost Capito a abondé dans le même sens : « Je pense la même chose que Mike. Il faut quand même rester prudent. Ils ont dit qu'ils continueraient à se pencher sur la question, pas encore qu'ils souhaitaient venir. Ce sont deux choses différents. »
Enfin, Günther Steiner, le boss de Haas, a partagé le sentiment des ses deux compères : « Qui ne leur parlerait pas ? Nous ne sommes cependant pas en discussions. »
En marge du Grand Prix d'Emilie-Romagne, certains patrons d'équipes ont été interrogés sur l'éventualité d'une telle arrivée. Après avoir été associé à McLaren, Audi serait désormais proche d'Aston Martin : « C'est extrêmement attirant d'avoir la possibilité de s'associer à un grand constructeur mondial. » a déclaré Mike Krack, le Team Principal de l'équipe propriété de Lawrence Stroll. « Je mentirais si je disais que je n'étais pas intéressé. Je souhaiterais vraiment leur parler. »
Présent à ses côtés, son homologue chez Williams, Jost Capito a abondé dans le même sens : « Je pense la même chose que Mike. Il faut quand même rester prudent. Ils ont dit qu'ils continueraient à se pencher sur la question, pas encore qu'ils souhaitaient venir. Ce sont deux choses différents. »
Enfin, Günther Steiner, le boss de Haas, a partagé le sentiment des ses deux compères : « Qui ne leur parlerait pas ? Nous ne sommes cependant pas en discussions. »