"C'était vraiment dur" : Ocon se confie sur sa saison 2019, en dehors de la F1
Dans le podcast de la F1 Beyond The Grid, Esteban Ocon est revenu sur son année hors de la grille en 2019. Il a avoué avoir vécu une période extrêmement compliquée émotionnellement.

Rédigé par Joris BeaussartLe 19/05 à 06:42

Très prometteur chez Force India en 2017 et 2018, à coté d'un Sergio Pérez qui occasionnait une rivalité sensible en interne, Esteban Ocon a ensuite subi le rachat de l'écurie indienne par Lawrence Stroll, l'évincant d'un poste de titulaire. C'est son fils Lance qui sera placé aux cotés de Pérez. Ocon se retrouve alors sans baquet et devra passer une année sur la touche en tant que pilote de réserve de Mercedes.
Dans le podcast de la F1 Beyond The Grid, le Français est revenu sur cette période très compliquée dans sa vie. « C'était vraiment dur », déclare le Normand. « J'ai eu des moments très bas mentalement. »
Ocon se souvient d'un moment particulièrement difficile, lors du premier Grand Prix de la saison à Melbourne. « Je pense que je me souviendrai de celle de l'Australie. Je suis arrivé à la première course en 2019 et nous étions censés avoir un programme d'essais assez important, donc j'étais censé piloter un peu la voiture. Quand je suis arrivé en Australie, on m'a dit que je n'allais pas piloter la voiture pendant les six prochains mois. Le prochain test devait avoir lieu dans six mois. »
Le natif d'Évreux affirme que cette annulation d'un temps de roulage l'a beaucoup touché émotionnellement. « Je me souviens avoir quitté la piste de Melbourne, aller dans la voiture de location et j'ai pleuré dans le parking. Il y avait beaucoup de moments difficiles. Je n'ai pas beaucoup de mal à m'endormir, mais je me souviens que cette nuit là n'était pas la meilleure. »
Dans le podcast de la F1 Beyond The Grid, le Français est revenu sur cette période très compliquée dans sa vie. « C'était vraiment dur », déclare le Normand. « J'ai eu des moments très bas mentalement. »
Ocon se souvient d'un moment particulièrement difficile, lors du premier Grand Prix de la saison à Melbourne. « Je pense que je me souviendrai de celle de l'Australie. Je suis arrivé à la première course en 2019 et nous étions censés avoir un programme d'essais assez important, donc j'étais censé piloter un peu la voiture. Quand je suis arrivé en Australie, on m'a dit que je n'allais pas piloter la voiture pendant les six prochains mois. Le prochain test devait avoir lieu dans six mois. »
Le natif d'Évreux affirme que cette annulation d'un temps de roulage l'a beaucoup touché émotionnellement. « Je me souviens avoir quitté la piste de Melbourne, aller dans la voiture de location et j'ai pleuré dans le parking. Il y avait beaucoup de moments difficiles. Je n'ai pas beaucoup de mal à m'endormir, mais je me souviens que cette nuit là n'était pas la meilleure. »