Après un week-end Monégasque où Ferrari a subi la stratégie Red Bull, les rouges prennent une nouvelle douche froide en Azerbaïdjan. Ce coup-ci, c'est la fiabilité qui est en cause, une fois de plus.
Un peu comme McLaren en 2005 avec la MP4-20, Ferrari a conçu une monoplace qui semble être la plus rapide. Elle a tout pour rafler les deux championnats, mais les soucis de fiabilité récurrents empoisonnent la vie des hommes en rouge.Il n'y a qu'à regarder les statistiques : six pole position de Charles Leclerc en huit Grand Prix, dont quatre consécutives sur les dernières épreuves. La monoplace de Maranello est clairement agile et douée pour aller chercher le chrono ultime.Si après la manche d'ouverture à Bahreïn les tifosi se sont brusquement mis à rêver de la double couronne mondiale, la donne est complètement inversée après ce Grand Prix d'Azerbaïdjan. Après une gifle monumentale infligée par Red Bull, 44-0, l'équipe au cheval cabré quitte les terres azéries à la seconde place du championnat, mais avec déficit de 80 points. Pire, au championnat des pilotes, le ...
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Me connecteraffecté par cet inconfort et montre du doigt les différents soucis de dos que cela peut engendrer. Pierre Gasly abonde en précisant qu'il en va de la santé des pilotes à court et moyen terme, pourtant extrêmement bien préparés physiquement.Outre cette gêne physique, il en va de la sécurité en course. George Russell s'attend à voir des accidents liés à ce phénomène. On se demande d'ailleurs comment ces pilotes font pour déchiffrer leur trajectoire avec ces rebonds incessants à haute vitesse.