
Depuis le début de la saison, les F1 de 2022 peuvent être considérées comme une réussite. Les voitures arrivent visuellement mieux à se suivre, ce qui était l'objectif principal de cette nouvelle règlementation. Mais ces nouvelles voitures ont fait apparaitre un nouveau phénomène de plus en plus dérangeant : le marsouinage.
Ce week-end à Bakou pour la huitième manche du championnat, les rebonds n'ont jamais semblés aussi présents. De nombreux pilotes s'en sont plaints et d'autres comme Lewis Hamilton ont été largement touché physiquement. Depuis, ces mêmes pilotes ont suggéré à la FIA d'agir rapidement pour ne pas compromettre leur santé à long terme.
Le dernier en date n'est autre que le pilote Alpine Esteban Ocon. Le Français a à son tour affirmé que la santé à long terme pouvait être atteinte. « Aucun d’entre nous ne veut avoir l'air de divas ou se plaindre que les voitures sont trop difficiles à conduire, mais nous devons réaliser que ce n’est pas sain pour le futur. »
Pour Ocon, au-delà du simple marsouinage, c'est la rigidité des voitures qui pose problème. « Ce n’est pas nécessairement le marsouinage, je pense que c’est la rigidité des voitures qui est un gros soucis sur la longue ligne droite. Nous ne pouvons pas préparer nos corps pour ça. »
Face à ce problème, Esteban Ocon espère que la FIA va essayer de trouver des solutions. « Je pense que c’est une chose que la FIA va examiner, probablement pour l’avenir, et c’est quelque chose que nous allons soutenir. »
Après le Grand Prix d'Azerbaïdjan, le marsouinage semble avoir pris une nouvelle dimension dans la préoccupation que lui portent les pilotes.
Ce week-end à Bakou pour la huitième manche du championnat, les rebonds n'ont jamais semblés aussi présents. De nombreux pilotes s'en sont plaints et d'autres comme Lewis Hamilton ont été largement touché physiquement. Depuis, ces mêmes pilotes ont suggéré à la FIA d'agir rapidement pour ne pas compromettre leur santé à long terme.
Le dernier en date n'est autre que le pilote Alpine Esteban Ocon. Le Français a à son tour affirmé que la santé à long terme pouvait être atteinte. « Aucun d’entre nous ne veut avoir l'air de divas ou se plaindre que les voitures sont trop difficiles à conduire, mais nous devons réaliser que ce n’est pas sain pour le futur. »
Pour Ocon, au-delà du simple marsouinage, c'est la rigidité des voitures qui pose problème. « Ce n’est pas nécessairement le marsouinage, je pense que c’est la rigidité des voitures qui est un gros soucis sur la longue ligne droite. Nous ne pouvons pas préparer nos corps pour ça. »
Face à ce problème, Esteban Ocon espère que la FIA va essayer de trouver des solutions. « Je pense que c’est une chose que la FIA va examiner, probablement pour l’avenir, et c’est quelque chose que nous allons soutenir. »
Après le Grand Prix d'Azerbaïdjan, le marsouinage semble avoir pris une nouvelle dimension dans la préoccupation que lui portent les pilotes.