À quoi pourrait ressembler le futur calendrier de la F1 ?


Si la France, la Belgique et Monaco sont potentiellement en danger, un circuit présent depuis de nombreuses saisons vient d'assurer son avenir. Il s'agit de l'Australie qui est certain d'être inscrit au calendrier jusqu'en 2035. Imola est également assuré d'un avenir - certes moins long - puisqu'il recevra la Formule 1 jusqu'en 2025. Pourtant critiqué par les fans, Barcelone sera aussi dans les ébauches des patrons de la discipline jusqu'en 2026.
La Hongrie est également liée avec la discipline sur le long terme puisqu'un contrat les liant jusqu'en 2032 a été signé et il pourrait même être prolongé pour cinq années de plus si de nouvelles installations sont construites.
Monza, autre circuit historique de la Formule 1 voit son contrat arriver à son terme, puisqu'il n'est valable que jusqu'en 2025.
Le Moyen-Orient de plus en plus présent
Les États-Unis sont de plus en plus impliqués dans la discipline et cela se prouve par plusieurs moyens. Dans un premier temps, la série Netflix Drive to Survive est un réel succès dans le pays de l'Oncle Sam. Grâce à ça, le circuit des Amériques a fait le plein l'an dernier avec 400.000 spectateurs. Ensuite, le pays dirigé par Joe Biden, a été ajouté une seconde fois au calendrier cette année avec Miami, avant que Las Vegas ne se joigne à la fête, l'an prochain.
En Asie, le circuit urbain de Singapour semble faire l'unanimité pour la FIA et la Formule 1 puisque le tracé sera présent, sauf problème majeur, au calendrier jusqu'en 2028. Absent depuis 2019, le circuit de Shanghai conservera sa place jusqu'en 2025.
En revanche, l'avenir de Suzuka est incertain puisqu'une menace plane au-dessus du tracé japonais. De plus, il n'est lié à la F1 que jusqu'en 2024.
Le Moyen-Orient monte aussi en puissance puisque récemment Djeddah a rejoint Bahreïn et Abu Dhabi. Le Qatar qui a connu une course en 2021, rejoindra de nouveau le calendrier en 2023 et ce, pour 10 ans.
De prochaines arrivées ?
Si certains tracés arrivent en fin de contrat et semblent être en difficulté pour leur prolongation, d'autres pourraient s'intégrer. On pense notamment à Nice qui est à l'étude, ou encore Madrid qui a fait part de son intention de recevoir la F1. Le Maroc pourrait aussi recevoir les monoplaces les plus rapides du monde, puisqu'il a reçu une délégation de la FIA pour passer des tests d'homologation.