Jean Alesi ne veut pas perdre le Grand Prix de France
F1. L'ancien pilote de Formule 1 estime qu'il serait dommage de perdre la course française, alors que son avenir est incertain.
Dernière édition ou long et futur heureux ? Alors que le contrat qui lie la Formule 1 et le Grand Prix de France arrive à son terme cette année, aucune prolongation n'a été signée. Cela met donc en péril la course, qui se déroule sur le circuit Paul Ricard et les organisateurs ne savent pas si le calendrier 2023 comportera la course française.
Mais des discussions positives sont en cours, un bon signe pour l'avenir du sport automobile français. Interrogé sur le sujet, l'ancien pilote de F1, Jean Alesi estime qu'il serait dommage de perdre cette course.
« On n'est pas mort »
« Moi je crois que toutes les cartes sont du côté du Grand Prix dans le sens où je crois que dimanche soir il faudra tirer un bilan du résultat », a-t-il indiqué à nos confrères de F1only.
« C’est-à-dire le show qu’on peut avoir sur la piste, mais en même temps le show que les spectateurs vont nous donner parce que le fait d’avoir toutes les tribunes pleines comme les préventes l’ont annoncé, ça va être exceptionnel ! De le perdre, ce serait vraiment un grand, grand dommage, mais nous n’en sommes pas encore là. »
Alors que nous en sommes encore qu'aux essais libres, les tribunes du Castellet sont loin d'être vides et la course devrait se dérouler à guichets fermées. De plus, la ferveur des supporters dans les tribunes pourrait faire pencher la balance en faveur d'Éric Boullier et son équipe. « On n'est pas mort », assure l'ancien ingénieur et actuel patron du GP de France.
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