F1. Ferrari a tout perdu, ce dimanche au Castellet. Charles Leclerc a abandonné et le passage aux stands de Carlos Sainz a été capoté par son équipe, alors qu'un podium était envisageable.
Ils avaient pourtant frappé un gros coup en qualification ! Ce samedi, Charles Leclerc était allé chercher une excellente pole position, bien aidé par son coéquipier, pour devancer son rival au championnat.
Un premier gros coup dans le week-end du Monégasque. Le début de course était idéal puisqu'il est parvenu à maintenir le Néerlandais derrière lui. Jusqu'à ce moment fatidique. Une sortie de piste, sans doute due à un problème d'accélérateur comme le laisse penser le message radio du pilote numéro 16. Une situation semblable à celle connue en Autriche... Toutefois, il est revenu sur ses propos après coup et indique qu'il s'agissait d'une erreur de sa part...
Une voiture au tapis, il en reste une seconde condamnée à une course d'attaque puisque Sainz partait avant-dernier. Profitant de la Safety Car pour changer de gommes, tout semblait aller pour l'Espagnol. Mais ne parlons pas trop vite. Ferrari reste ...
Un premier gros coup dans le week-end du Monégasque. Le début de course était idéal puisqu'il est parvenu à maintenir le Néerlandais derrière lui. Jusqu'à ce moment fatidique. Une sortie de piste, sans doute due à un problème d'accélérateur comme le laisse penser le message radio du pilote numéro 16. Une situation semblable à celle connue en Autriche... Toutefois, il est revenu sur ses propos après coup et indique qu'il s'agissait d'une erreur de sa part...
Une voiture au tapis, il en reste une seconde condamnée à une course d'attaque puisque Sainz partait avant-dernier. Profitant de la Safety Car pour changer de gommes, tout semblait aller pour l'Espagnol. Mais ne parlons pas trop vite. Ferrari reste ...
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second arrêt alors qu'il avait le rythme pour aller accrocher une troisième place podium
Alors qu'elle a l'une des deux voitures les plus compétitives du plateau et est en mesure de devenir une nouvelle fois la meilleure équipe du monde, Ferrari semble se prendre les pieds dans le tapis dès que la pression est là.
Elle est loin l'époque des stratégies aussi farfelues que bénéfiques de Ross Brawn, des courses maîtrisées de A à Z par la Scuderia...
Alors qu'elle a l'une des deux voitures les plus compétitives du plateau et est en mesure de devenir une nouvelle fois la meilleure équipe du monde, Ferrari semble se prendre les pieds dans le tapis dès que la pression est là.
Elle est loin l'époque des stratégies aussi farfelues que bénéfiques de Ross Brawn, des courses maîtrisées de A à Z par la Scuderia...
