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Laurent Rossi serait "très déçu" de voir le Grand Prix de France disparaître

Le PDG d'Alpine, comme de nombreuses personnalités de la F1, souhaite que l'histoire du Grand Prix de France perdure.
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La France est un bastion de la course automobile, assure Laurent Rossi
© Alpine / "La France est un bastion de la course automobile", assure Laurent Rossi
Y sera ou n'y sera pas ? Telle est la question. Alors que le week-end dernier se tenait le Grand Prix de France, c'était à l'heure d'écrire ses lignes, sa dernière édition. En effet, le contrat qui liait la course en hexagone et la Formule 1 est arrivé à son terme.

Toutefois, même si des discussions favorables semblent être en cours pour sa reconduction, avec l'arrivée de nombreuses destinations, son avenir semble pour le moins compromis. Depuis, de nombreuses personnalités de ce milieu ont fait part de leurs inquiétudes et de leur souhait de maintenir l'épreuve. C'est notamment le cas du PDG d'Alpine, Laurent Rossi qui serait « très déçu » de voir ce rendez-vous disparaître.

La France, bastion de la course automobile



« Je ne parle pas en tant que manager d'une équipe française ni même en tant que citoyen français. Plutôt, je pense que la France est un bastion de la course automobile. Elle a beaucoup donné à la compétition, elle a un grand public, de nombreux fans. Je dirais qu'il serait un peu injuste de supprimer du calendrier un événement aussi important que le Grand Prix de France. Ce serait étrange, j'espère qu'il restera. »

À lire aussi : Jean Alesi soutient le Grand Prix de France

De son côté, Éric Boullier, le directeur du GP de France, travaille activement pour maintenir cette épreuve au calendrier.

« On a essayé de se positionner comme un Grand Prix modèle, avec tout un tas de choses qui correspondent au cahier des charges. Donc effectivement, ça aide dans les discussions, ça nous permet aussi de prouver qu'après cinq ans, on sait faire, on est sérieux, on est considérés et on peut parler d'avenir. Pour l'instant, je n'ai aucune idée de quoi que ce soit si ce n'est, effectivement, un engagement positif de la part du président de la FOM de vouloir discuter du Grand Prix de France », a-t-il glissé au micro de Canal +.

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Avec les deux dernières éditions spectaculaires qui ont eu lieu au Castellet, tant sur la piste qu'en tribune (malgré les restrictions en 2021), perdre l'une des courses les plus mythiques de l'histoire serait dommageable pour la discipline.

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