Lors du Grand Prix des Pays-Bas, les commissaires ont déployé la virtual safety car. Son intervention fait de moins en moins l'unanimité, surtout quand une vraie voiture de sécurité serait plus appropriée.
Les commissaires de la F1, c'est un peu comme les stratégistes de Ferrari. À chaque course, on sait qu'ils vont sortir une décision biscornue, mais on est surpris à chaque fois.Quand ce ne sont pas des pénalités, sanctions ou encore avertissements qui ne sont pas donnés à la même valeur à chacun des pilotes, c'est la manière de gérer la course qui ne va pas.On pourrait déjà parler des différences notables lors des essais libres entre un Lewis Hamilton qui gêne trois pilotes et qui s'en tire comme si de rien n'était tandis que d'autres se font taper sur les doigts.Ensuite, lors du Grand Prix, Yuki Tsunoda, par deux fois s'est arrêté en bord de piste pour signaler un problème sur sa monoplace. Si, lors du premier arrêt, il est reparti, le deuxième est synonyme d'abandon. Plutôt bien située, proche d'une voie d'évacuation, la ...
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Me connectertours après, c'est au tour de Valtteri Bottas de jeter l'éponge, cette fois-ci en pleine ligne droite. Mais cette fois-ci, la décision a été la bonne d'entrée, avec une belle voiture en piste.Cet outil numérique et virtuel ne devrait être utilisé qu'en essais libres et rien de plus car elle gâche tout spectacle et potentiel suspens, là où une vraie voiture de sécurité peut amener rebondissement et piment, parfois à l'encontre de l'effort fourni par un pilote... Mais, c'est la course.