Présent en Formule 1 depuis 1980, Adrian Newey s'est distingué par ses monoplaces toutes plus surprenantes les unes que les autres. Depuis son arrivée dans la discipline, il a remporté 11 titres constructeurs et 12 titres pilotes.
C'est un génie. De ses premiers pas chez Fittipaldi à ses années de succès avec Red Bull, Adrian Newey a apporté de nombreuses créations aux monoplaces sur lesquelles il a travaillé.
Aujourd'hui, sa réputation n'est plus à faire, mais ses premières saisons se sont faites dans l'anonymat. En 1980, à la sortie de ses études, il trouve une place chez Fittipaldi. Il ne travaille, certes, que très peu sur la monoplace, mais à la fin de l'année, l'écurie termine à la 8e place, avec 11 points.
Il part ensuite se réfugier aux États-Unis, pour le championnat de CART avant une nouvelle pige chez Haas-Lola, en 1986. Il boucle l'exercice à la 8e place, avec 6 petites unités au compteur.
Il revient à nouveau en F1 après un court séjour en CART. Cette fois-ci chez March. En 1988, pour son retour, il métamorphose la voiture au Portugal, ce qui permet à Ivan Capelli de terminer deuxième. À la fin de la saison, March termine avec une honorable 6e place et 22 points à son compteur. Les deux autres saisons sont plus difficiles, malgré un coup d'éclat en France en 1990 avec une nouvelle deuxième place.
Il se fait tout de même virer, mais rebondit chez Williams. Là, il connaît ses premiers succès. Avec la FW14, Nigel Mansell est capable de faire jeu égal avec Ayrton Senna, mais loupe le titre de peu. 125 unités sont inscrites par l'écurie de Grove, avec une 2e place, au final.
Adrian Newey connaît ensuite les joies du sacre. En 1992, 1993, 1994 et 1996, il glane quatre titres mondiaux chez les constructeurs. Il ajoute aussi trois titres pilotes. Il faut aussi ajouter un autre doublé en 1997, avec Jacques Villeneuve.
Ses années Williams ne s'éternisent pas puisqu'il prend la direction de McLaren. Ici, avec Mika Häkkinen notamment, il gagne un autre titre constructeur en 1998, deux titres pilotes la même année ainsi qu'en 1999. Après avoir lutté à plusieurs reprises pour la couronne mondiale avec l'équipe basée à Woking, il prend ses valises fin 2005 après une deuxième place au championnat constructeurs.
Adrian Newey se lance alors dans l'aventure Red Bull. Les premières années sont laborieuses avec plusieurs courses galères. Sebastian Vettel apporte toutefois une victoire surprise en 2008, à Monza. Le premier d'une longue série. De 2010 à 2013, l'Allemand remporte quatre titres consécutifs, permettant à l'ingénieur de rajouter quelques lignes supplémentaire à son CV.
Ensuite, l'écurie autrichienne vogue entre la 2e et 3e place. Avant de retrouver les sommets en 2021, avec le titre pilote de Max Verstappen. Le Néerlandais remet ça l'année suivante, avec aussi à la clé, le titre constructeurs acquis avec Sergio Perez.
Aujourd'hui, sa réputation n'est plus à faire, mais ses premières saisons se sont faites dans l'anonymat. En 1980, à la sortie de ses études, il trouve une place chez Fittipaldi. Il ne travaille, certes, que très peu sur la monoplace, mais à la fin de l'année, l'écurie termine à la 8e place, avec 11 points.
Il part ensuite se réfugier aux États-Unis, pour le championnat de CART avant une nouvelle pige chez Haas-Lola, en 1986. Il boucle l'exercice à la 8e place, avec 6 petites unités au compteur.
Coup de génie March
Il revient à nouveau en F1 après un court séjour en CART. Cette fois-ci chez March. En 1988, pour son retour, il métamorphose la voiture au Portugal, ce qui permet à Ivan Capelli de terminer deuxième. À la fin de la saison, March termine avec une honorable 6e place et 22 points à son compteur. Les deux autres saisons sont plus difficiles, malgré un coup d'éclat en France en 1990 avec une nouvelle deuxième place.
Il se fait tout de même virer, mais rebondit chez Williams. Là, il connaît ses premiers succès. Avec la FW14, Nigel Mansell est capable de faire jeu égal avec Ayrton Senna, mais loupe le titre de peu. 125 unités sont inscrites par l'écurie de Grove, avec une 2e place, au final.
Adrian Newey connaît ensuite les joies du sacre. En 1992, 1993, 1994 et 1996, il glane quatre titres mondiaux chez les constructeurs. Il ajoute aussi trois titres pilotes. Il faut aussi ajouter un autre doublé en 1997, avec Jacques Villeneuve.
Les années McLaren
Ses années Williams ne s'éternisent pas puisqu'il prend la direction de McLaren. Ici, avec Mika Häkkinen notamment, il gagne un autre titre constructeur en 1998, deux titres pilotes la même année ainsi qu'en 1999. Après avoir lutté à plusieurs reprises pour la couronne mondiale avec l'équipe basée à Woking, il prend ses valises fin 2005 après une deuxième place au championnat constructeurs.
Adrian Newey se lance alors dans l'aventure Red Bull. Les premières années sont laborieuses avec plusieurs courses galères. Sebastian Vettel apporte toutefois une victoire surprise en 2008, à Monza. Le premier d'une longue série. De 2010 à 2013, l'Allemand remporte quatre titres consécutifs, permettant à l'ingénieur de rajouter quelques lignes supplémentaire à son CV.
Ensuite, l'écurie autrichienne vogue entre la 2e et 3e place. Avant de retrouver les sommets en 2021, avec le titre pilote de Max Verstappen. Le Néerlandais remet ça l'année suivante, avec aussi à la clé, le titre constructeurs acquis avec Sergio Perez.