
Après avoir figuré quatre ans sur le calendrier, le Paul-Ricard n’accueillera pas la F1 cette année. Le non-renouvellement du contrat entre le circuit et la F1 a par ailleurs, entraîné la dissolution du Groupement d'intérêt public (GIP) qui gérait le Grand Prix de France, avec un déficit d'environ 27 millions d’euros.
Dans une interview pour BFM Toulon Var, Jean Alesi revient sur la disparition de cet évènement et rejette en partie la faute sur le gouvernement français. « 32 pays demandent à organiser des Grand Prix de F1. Géographiquement, le circuit Paul Ricard était l’idéal mais quand on arrive dans un pays où on n’a pas d’intérêt, ça devient compliqué. Les présidents d’autres pays sont honorés d’avoir un tel événement sur leur territoire. Le GP de France n’est pas un problème du circuit Paul-Ricard, c’est un problème national. Il n’y a pas de volonté nationale d’avoir un Grand Prix, » déclare t-il.
« Si le Grand Prix a existé ces cinq dernières années on peut vraiment remercier les élus locaux. Mais une région ne peut pas pas, seule, accueillir un Grand Prix. »
Il aimerait ainsi s’entretenir avec monsieur Emmanuel Macron pour améliorer la situation. « Ça serait un honneur de parler avec le Président de la République de quelque chose qui me tient à coeur et qui pourrait revenir au calendrier…Je pense qu’il a d’autres priorités. »
Le Grand Prix de France a accueilli le F1 de 1950 à 2008 avant de connaître une traversée du désert pendant dix ans jusqu’à son retour au calendrier en 2018. Avec le succès grandissant de la discipline, nombreux sont les candidats à vouloir l’accueillir ce qui ne laisse pas envisager un retour des pilotes au Castellet pour le moment.
Dans une interview pour BFM Toulon Var, Jean Alesi revient sur la disparition de cet évènement et rejette en partie la faute sur le gouvernement français. « 32 pays demandent à organiser des Grand Prix de F1. Géographiquement, le circuit Paul Ricard était l’idéal mais quand on arrive dans un pays où on n’a pas d’intérêt, ça devient compliqué. Les présidents d’autres pays sont honorés d’avoir un tel événement sur leur territoire. Le GP de France n’est pas un problème du circuit Paul-Ricard, c’est un problème national. Il n’y a pas de volonté nationale d’avoir un Grand Prix, » déclare t-il.
« Si le Grand Prix a existé ces cinq dernières années on peut vraiment remercier les élus locaux. Mais une région ne peut pas pas, seule, accueillir un Grand Prix. »
Il aimerait ainsi s’entretenir avec monsieur Emmanuel Macron pour améliorer la situation. « Ça serait un honneur de parler avec le Président de la République de quelque chose qui me tient à coeur et qui pourrait revenir au calendrier…Je pense qu’il a d’autres priorités. »
Le Grand Prix de France a accueilli le F1 de 1950 à 2008 avant de connaître une traversée du désert pendant dix ans jusqu’à son retour au calendrier en 2018. Avec le succès grandissant de la discipline, nombreux sont les candidats à vouloir l’accueillir ce qui ne laisse pas envisager un retour des pilotes au Castellet pour le moment.