L'énorme amende et pénalité reçue par Red Bull n'a fait que renforcer la motivation et l'efficacité de Red Bull
Le team principal de Red Bull s'est exprimé sur la sanction reçu après avoir dépassé le plafond budgétaire. Pour lui cette sanction ne fait que donner une motivation supplémentaire à l'écurie autrichienne. Masi cette pénalité pourrait toutefois se faire ressentir à plus long terme.

Rédigé pPar
Valentin Herve
Le 14/03 à 19:23

A l'issue de la saison 2021, il a été reconnu que Red Bull avait bel et bien dépassé le plafond budgétaire initié la même année, de 145 millions de dollars. Conséquence de quoi, l'écurie a été condamnée à une amende de sept millions de dollars et a été amputé de 10% de temps en soufflerie. Mais pour Christian Horner, cette sanction n'a fait que renforcer l'équipe.
Après l'ultra domination de Red Bull à Bahreïn, difficile d'imaginer à quel moment l'écurie Red Bull a été pénalisé dans son développement de la monoplace 2022. En effet les deux pilotes ont réalisé le doublé et repartent avec le maximum de points. A l'inverse Christian Horner voit cette sanction bénéfique pour l'équipe comme il le déclare à Autosport : « Ce que nous avons perdu en temps de soufflerie, nous l'avons gagné en motivation », déclare Horner avant de préciser qu'« elle concentre l'attention de tout le monde dans l'écurie et qu'elle favorise l'efficacité ».
Toutefois, Christian Horner déclare que la sanction pourrait avoir des effets à long terme, à commencer par la saison 2024 : « C'est quelque chose que vous devez voir sur 12 mois, parce que ce n'est pas seulement la voiture de cette année, c'est aussi celle de l'année prochaine », affirme le technicien britannique. Cette sanction ne semble pas ébranler les performances de la monoplace en piste, comme pouvait le prétendre Horner la saison dernière. Ce dernier affirmait que les 10% de temps en soufflerie en moins représentait une perte « entre un quart et une demie seconde par tour ». Pour le moment il n'en est rien comme le confirmait Mercedes d'ailleurs plus tôt cette saison.
La FIA limite le temps de soufflerie et de CFD (simulation par ordinateurs) par saison. Mais surtout le réduit automatiquement de 5% si l'écurie est mieux classée que la P7 au championnat précédent par grade cumulatifs. Ce temps est découpé en 6 périodes de 6 semaines sur lesquelles la FIA valide des tests et les écuries s'y applique. Au total, en 2023, Red Bull aura le droit à 202 passages en souffleries et 1206 simulations par ordinateurs contre par exemple 256 tests en soufflerie pour Mercedes et 1600 simulations.
Après l'ultra domination de Red Bull à Bahreïn, difficile d'imaginer à quel moment l'écurie Red Bull a été pénalisé dans son développement de la monoplace 2022. En effet les deux pilotes ont réalisé le doublé et repartent avec le maximum de points. A l'inverse Christian Horner voit cette sanction bénéfique pour l'équipe comme il le déclare à Autosport : « Ce que nous avons perdu en temps de soufflerie, nous l'avons gagné en motivation », déclare Horner avant de préciser qu'« elle concentre l'attention de tout le monde dans l'écurie et qu'elle favorise l'efficacité ».
Un effet à long terme
Toutefois, Christian Horner déclare que la sanction pourrait avoir des effets à long terme, à commencer par la saison 2024 : « C'est quelque chose que vous devez voir sur 12 mois, parce que ce n'est pas seulement la voiture de cette année, c'est aussi celle de l'année prochaine », affirme le technicien britannique. Cette sanction ne semble pas ébranler les performances de la monoplace en piste, comme pouvait le prétendre Horner la saison dernière. Ce dernier affirmait que les 10% de temps en soufflerie en moins représentait une perte « entre un quart et une demie seconde par tour ». Pour le moment il n'en est rien comme le confirmait Mercedes d'ailleurs plus tôt cette saison.
La FIA limite le temps de soufflerie et de CFD (simulation par ordinateurs) par saison. Mais surtout le réduit automatiquement de 5% si l'écurie est mieux classée que la P7 au championnat précédent par grade cumulatifs. Ce temps est découpé en 6 périodes de 6 semaines sur lesquelles la FIA valide des tests et les écuries s'y applique. Au total, en 2023, Red Bull aura le droit à 202 passages en souffleries et 1206 simulations par ordinateurs contre par exemple 256 tests en soufflerie pour Mercedes et 1600 simulations.