Vasseur admet une « mauvaise communication » en course, avec Leclerc
Après le cafouillage dans les échanges radio à Djeddah, le patron de l'équipe Ferrari, Frédéric Vasseur, a reconnu que l'équipe devra s'occuper du problème de communication de Charles Leclerc lors du Grand Prix d'Arabie Saoudite.
Rédigé
pPar
Victor Meganck
Le 23/03 à 17:58, archivé
À la suite d'une course décevante pour la Scuderia, ou Charles Leclerc à vu le podium s'éloigner, et terminant à plus 40 secondes du vainqueur, Sergio Perez, lors de la seconde manche de la saison à Djeddah.
Entament le week-end avec un handicap, après son abandon à Bahreïn, Leclerc a néanmoins signé le deuxième temps des qualifications avant de rétrogradé de 10 places, suite à l'utilisation de nouveaux éléments du groupe propulseur.
Le lendemain, parti 12e, le Monégasque à connu un premier relais de course concluant, en remontant jusque dans le top cinq, avant que la voiture de sécurité ne soit déployée au 18e tour, pour permettre l'évacuation de la monoplace de Lance Stroll au virage 13.
C'est à ce moment que l'incident, c'est produit. Leclerc, alors devant Lewis Hamilton avant son arrêt aux stands, est ressorti derrière le pilote Mercedes, ayant été informé trop tard qu'il devait pousser à partir de la « ligne 1 de la voiture de sécurité ».
Leclerc, mécontent, a répondu « il faut me le dire avant », avant d'ajouter : « Non, mais sérieux ! »
Après la course, le patron de Ferrari, Frédéric Vasseur, a reconnu que cela n'avait pas été une « bonne décision », avant d'ajouter que l'équipe allait se pencher sur les mauvais échanges qui ont touché Leclerc, même si, pour le moment, ce n'est pas une priorité.
« Ce n'est pas le problème principal » ajoute t-il d'ailleurs « et je pense que ce serait une erreur de notre part de s'y attarder. »
« Je ne veux pas dire que ce sont des détails. Il s'agit d'une erreur de communication et nous devrons en parler pour régler le problème. Ce n'est pas du tout le problème principal de ce week-end. »
Entament le week-end avec un handicap, après son abandon à Bahreïn, Leclerc a néanmoins signé le deuxième temps des qualifications avant de rétrogradé de 10 places, suite à l'utilisation de nouveaux éléments du groupe propulseur.
Le lendemain, parti 12e, le Monégasque à connu un premier relais de course concluant, en remontant jusque dans le top cinq, avant que la voiture de sécurité ne soit déployée au 18e tour, pour permettre l'évacuation de la monoplace de Lance Stroll au virage 13.
C'est à ce moment que l'incident, c'est produit. Leclerc, alors devant Lewis Hamilton avant son arrêt aux stands, est ressorti derrière le pilote Mercedes, ayant été informé trop tard qu'il devait pousser à partir de la « ligne 1 de la voiture de sécurité ».
Leclerc, mécontent, a répondu « il faut me le dire avant », avant d'ajouter : « Non, mais sérieux ! »
Vasseur reconnaît la "mauvaise communication" de Ferrari
Après la course, le patron de Ferrari, Frédéric Vasseur, a reconnu que cela n'avait pas été une « bonne décision », avant d'ajouter que l'équipe allait se pencher sur les mauvais échanges qui ont touché Leclerc, même si, pour le moment, ce n'est pas une priorité.
« Ce n'est pas le problème principal » ajoute t-il d'ailleurs « et je pense que ce serait une erreur de notre part de s'y attarder. »
« Je ne veux pas dire que ce sont des détails. Il s'agit d'une erreur de communication et nous devrons en parler pour régler le problème. Ce n'est pas du tout le problème principal de ce week-end. »
Frustrating weekend for Ferrari in Djeddah 😤 #SaudiArabianGP #F1 pic.twitter.com/305zmgwXLW
— Formula 1 (@F1) March 21, 2023
