Faites partie de l'équipe

Nous privilégions la qualité et l'expérience de lecture. Bénéficiez de nos contenus premiums et d'une expérience plus rapide et sans publicités.

Voir les avantagesDécouvrir les abonnements
Sans engagement
A partir de 4€ / mois

Alesi imagine "une alternance" avec Spa, Imola ou l'Autriche pour le Grand Prix de France

F1. Pour le président du circuit Paul Ricard, Jean Alesi, l'idée d'une alternance avec un autre pays pour revoir le Grand Prix de France, est envisageable.

Logo Mi mini
Rédigé par Par
Le président du circuit dénonce, une nouvelle fois, le manque de soutien du gouvernement français.
© Aston Martin / Le président du circuit dénonce, une nouvelle fois, le manque de soutien du gouvernement français.

Après quatre éditions du Grand Prix de France, de 2018 à 2021, les instances de la F1 ont décidé de ne pas renouveler le contrat avec le circuit Paul Ricard.

Alesi désigne une nouvelle fois le gouvernement Français

L'ancien pilote Ferrari, Jean Alesi et désormais président du tracé varois, réaffirme une nouvelle fois que le problème avec la disparition de la F1 en France n'était pas uniquement financier, mais aussi politique.

« La F1 aujourd’hui, c’est 32 pays qui demandent à avoir un Grand Prix sur leur territoire, il n’y a que 23 Grand Prix », expose le Français pour Eurosport, et nous le disait déjà à Bahreïn, il y a quelques semaines.

« Donc, ils [la F1] sont obligés de dire non à des gens qui sont presque à genou devant eux en disant : "s’il-vous plait, venez, venez, venez, on vous accueille à bras ouverts". Ce n’est pas le cas en France. »

« On a eu les cinq dernières années – à part l’année Covid bien sûr – un Grand Prix qui a eu beaucoup de succès, mais qui a été boudé par nos politiciens. Je ne parle pas de ceux de la région, parce que c’est grâce à eux que la F1 a pu revenir, mais de ne pas avoir un président aujourd’hui sur une grille de Formule 1, c’est mal vu. »

« C’est normal, parce que quand vous allez sur n’importe quel Grand Prix, si vous n’avez pas le roi, pas le premier ministre, si vous n’avez pas le président, ça cloche. »

« Donc, tout le monde utilise la F1 pour véhiculer l’image de la course automobile dans son pays. »

Alterner une année sur deux

Comme évoqué, il y a peu, par le patron du circuit d'Hockenheim, pour là aussi revoir la F1 en Allemagne, Alesi semble également intéressé par l'idée d'une rotation des courses avec d'autres pays.

« Aujourd’hui, avec cet engouement, on a pu voir sur les derniers Grand Prix 350 000 spectateurs, 450 000 spectateurs. C’est des records qui sont battus. »

« Peut-être aussi qu’en Europe il va y avoir une nouvelle façon de voir la F1, c’est à dire qu’on risque d’avoir en alternance un pays avec un autre. »

« Cela aidera également à économiser de l'argent, et peut-être que Spa ou un GP d'Autriche ou Imola alterneront avec nous. Tout est sur la table. »

Votre avis

Vous avez déjà un compte ? Me connecter

Merci de choisir un pseudo.
Votre email est obligatoire pour valider votre commentaire.
Commentaire en attente de publication. Un email vous a été envoyé.
Le formulaire n'est pas valide.

Un e-mail de vérification vous sera envoyé avant la publication de votre commentaire.

Abonnez-vous

Motors Inside, c'est :
- 20+ déplacements / saison à travers le monde (F1, WEC, Karting),
- Des journalistes et des photographes,
- Du contenu de qualité depuis 2007,
- Des reportages, insides et des interviews exclusives.

Voir les avantages

Grand Prix de France

Plus d'actualités

Abonnez-vous

Motors Inside, c'est :
- 20+ déplacements / saison à travers le monde (F1, WEC, Karting),
- Des journalistes et des photographes,
- Du contenu de qualité depuis 2007,
- Des reportages, insides et des interviews exclusives.

Voir les avantages
Sans engagement, à partir de 4€ / mois

Breaking news

Ne ratez plus aucune "breaking news" grâce à la nouvelle newsletter Motors Inside. Recevez dans la minute les infos importantes.

Un lien de vérification vous sera envoyé.
Merci de renseigner votre adresse e-mail.
Haut