Charles Leclerc dans l'incompréhension quant à ses pneus
Parti de la voie des stands après des changements de pièces sur sa voiture, Charles Leclerc espérait une remontée un peu plus flamboyante que celle qu'il a connu. Le Monégasque a terminé la course à la 11e position, hors des points. Il dresse un bilan bien triste de son dimanche après-midi.
Rédigé
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Marius Druart
Le 04/06 à 19:55, archivé
Cette remontée de Charles Leclerc s'annonçait difficile avant le début de la course, elle s'est avérée bien plus compliquée que ce que tout le monde imaginait. Dans l'incapacité de mettre ses pneus dans la bonne fenêtre d'utilisation, le pilote de la Scuderia a fait ce qu'il a pu et pointe les difficultés rencontrées.
D'un relais à l'autre, la performance de la voiture n°16 a évolué. Parfois compétitive, parfois en manque cruel de rythme, Charles Leclerc n'a jamais pu comprendre ses pneus.
« On est pas du tout constant. On met deux hards dans la course : un hard c'est une catastrophe et le deuxième hard est plutôt bien. On remonte sur Pierre à la fin. Mais bon le deuxième hard était beaucoup mieux que le premier donc il faut vraiment qu'on comprenne parce qu'à chaque fois on est un petit peu surpris de ce qui se passe avec les pneus et on n'arrive jamais à les mettre dans la bonne fenêtre. »
« C'est ce qui fait qu'il y a des énormes écarts. Dans la même course en mettant deux fois le même train de pneus, on passe d'une voiture plutôt bonne à une voiture complètement différente » s'est exclamé Charles Leclerc au micro de Canal+.
Au moment de rentrer aux stands pour la dernière fois, Charles Leclerc avait demandé des pneus tendres pour son dernier relais. Mais son ingénieur lui a indiqué que les pneus durs seraient chaussés au moment de l'arrêt. Un moment d'incompréhension.
« J'étais persuadé qu'on allait finir avec des tendres » a-t-il déclaré.
Depuis le début de l'année et même depuis la saison dernière, le fonctionnement des pneus n'a cessé d'être un problème pour la Scuderia Ferrari. Problème toujours pas résolu et qui continue de plomber l'écurie.
« Il faut qu'on comprenne parce que c'est pas la première fois que ça nous arrive et on comprend pas ce qu'il faut faire avec ces pneus. Il faut vraiment qu'on comprenne » a déclaré Leclerc.
Prochain rendez-vous à Montréal sur le tracé Gilles Villeneuve. D'ici là, Ferrari aura le temps de se pencher sur ce problème. Espérons pour eux qu'ils parviennent à trouver une solution.
Une incompréhension des pneus
D'un relais à l'autre, la performance de la voiture n°16 a évolué. Parfois compétitive, parfois en manque cruel de rythme, Charles Leclerc n'a jamais pu comprendre ses pneus.
« On est pas du tout constant. On met deux hards dans la course : un hard c'est une catastrophe et le deuxième hard est plutôt bien. On remonte sur Pierre à la fin. Mais bon le deuxième hard était beaucoup mieux que le premier donc il faut vraiment qu'on comprenne parce qu'à chaque fois on est un petit peu surpris de ce qui se passe avec les pneus et on n'arrive jamais à les mettre dans la bonne fenêtre. »
« C'est ce qui fait qu'il y a des énormes écarts. Dans la même course en mettant deux fois le même train de pneus, on passe d'une voiture plutôt bonne à une voiture complètement différente » s'est exclamé Charles Leclerc au micro de Canal+.
Leclerc voulait finir en pneus tendres
Au moment de rentrer aux stands pour la dernière fois, Charles Leclerc avait demandé des pneus tendres pour son dernier relais. Mais son ingénieur lui a indiqué que les pneus durs seraient chaussés au moment de l'arrêt. Un moment d'incompréhension.
« J'étais persuadé qu'on allait finir avec des tendres » a-t-il déclaré.
Un problème de pneus récurrent selon le Monégasque
Depuis le début de l'année et même depuis la saison dernière, le fonctionnement des pneus n'a cessé d'être un problème pour la Scuderia Ferrari. Problème toujours pas résolu et qui continue de plomber l'écurie.
« Il faut qu'on comprenne parce que c'est pas la première fois que ça nous arrive et on comprend pas ce qu'il faut faire avec ces pneus. Il faut vraiment qu'on comprenne » a déclaré Leclerc.
Prochain rendez-vous à Montréal sur le tracé Gilles Villeneuve. D'ici là, Ferrari aura le temps de se pencher sur ce problème. Espérons pour eux qu'ils parviennent à trouver une solution.
